végétalisme

Admin Nombre de messages : 25233 Date d'inscription : 17/05/2007

Les légumes

bette
Le Topinambour est un légume moins riche en glucides que la pomme de terre et il est peu calorique. Il contient de l'inucine. C'est un sucre qui n'est pas absorbé au niveau de l'intestin et qui ne fait pas grossir. Il est très riche en Fibres : 8% mais il est difficile à passer pour les intestins fragiles. La Bette est un légume riche en fer (100 mg pour 100 g). Ses feuilles sont riches en vitamine C et béta-carotène et ses côtes contiennent beaucoup de fibres.

Le Crosne, est moins connu de nos contemporains mais fut célèbre à la belle époque, car ce petit légume originaire de Chine est délicieux avec une saveur voisine de l'artichaut et du salsifis. Riche en protéines végétales (3%), les bétaïnes (qui sont aussi dans le soja).
Le Patisson, cultivé dans les années 1900, ce parent de la courgette est proposé par nos chefs cuisiniers dans les restaurants pour accompagner les viandes : originale et savoureux. Il contient : fer, (1,5 mg/100 g) phosphore, zinc, magnésium et calcium. Le Panais, peu calorique, riche en vit. C, B5 et B6, et en potassium. Ce légume, très légèrement sucré était considéré jadis comme un aphrodisiaque.

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[color=black]Le sucre

[color:d96d=black:d96d]Pour clore notre travail relatif aux Édulcorants de synthèse, nous allons parler du sucre blanc que tout le monde connaît et du sucre naturel moins connu. L'ennemi public, le sucre blanc en poudre ou en domino n'a absolument aucune qualité. Mais on l'a hélas remplacé par des édulcorants de synthèse qui ne sont pas mieux mais sont peut être pires. Voici les accusations contre le sucre blanc. Il augmente le risque de certaines maladies (diabète) et de certains cancers (en particulier celui du colon). Il entraîne des caries et pourraient accélérer le vieillissement (en raison de la sécrétion d'insuline) Il augmenterait enfin le taux sanguin de TRIGLYCÉRIDES et deviendrait donc l'un des facteurs de risque nutritionnel principal, devant les graisses animales (ce qui reste encore à prouver). Il épuise aussi votre réserve en vitamine B1.

Dans les aliments non raffinés, les sucres sont accompagnés d'éléments qui aident à leur métabolisme (magnésium, vit. B1) or le sucre blanc qui n'en contient pas oblige notre organisme à puiser ces éléments dans ses réserves pour pouvoir ingérer le sucre, aggravant alors les carences en ces éléments et provoquant : baisse du système immunitaire et donc moindre résistance à la fatigue et au stress, troubles de la mémoire.

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Le miel est un liquide sucré produit par des abeilles à partir du nectar des fleurs et la nature du nectar dont le miel est fait détermine sa saveur et sa couleur. Le miel de sapin n'a rien à voir avec un miel de fleur d'oranger ou un miel d'acacia. Leur goût d'une par et leurs effets thérapeutiques sont différents. Sans avoir les inconvénients du sucre blanc, le miel remplace le sucre dans toutes les préparations culinaires C'est un aliment 100% naturel. Il contient différents glucides : seulement 5% de saccharose, 6% de maltose, 30% de glucose, 40% de fructose ; son PH acide et sa teneur élevée en sucre le rendent inhospitalier pour les micro-organismes. Tous les miels sont des combinaisons complexes de fructose et de glucose avec de l'eau, des acides organiques, des oligo-éléments vitaminés et minéraux. Le miel a fait ses preuves durant des millénaires comme tonique, sédatif, antifongique, antibiotique. De plus, il aide à fixer le calcium dans l'organisme, grâce à sa teneur en potassium, il permet d'équilibrer les taux acides dans l'organisme.

Parmi les sucres naturels, citons encore le célèbre SIROP D'ÉRABLE de nos amis Canadiens, bien supérieur à notre sucre industriel. 15 ml de sirop d'érable apportent 50 calorie. Il est aussi très riche en minéraux (Calcium, Potassium, phosphore, vitamine B). La CAROUBE [color=black]fruit du Caroubier, arbre originaire de Syrie, est très sucrée. La caroube est un édulcorant naturel le plus riche en fibres et en calcium et renferme aussi des Tanins. On en trouve dans tous les magasins d'alimentation naturelle. Le KITUL[color:b123=black:b123] du Srilanka : c'est un édulcorant naturel issu de la tige des fleurs de Caryota Urens. La sève est récoltée quotidiennement, filtrée puis bouillie à 110°c. Les Srilankais l'utilisaient régulièrement. Le Kitul est riche en vitamine B1, B12, C, fer, calcium. Sa saveur est originale et raffinée. STEVIA que l'on trouve dans les rayons diététiques et produits naturels a été découvert en 1915 au Paraguay. Le pouvoir sucrant de la Stévia est 250 fois supérieur à celui du saccharose et de plus il est non calorique, non métabolisable et non fermentable. Mais encore n'entraîne aucun effet glycémiant.

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Le sucre raffiné

[Depuis plus d'un siècle, divers chercheurs et pas des moindres se sont posés la question de savoir si le sucre était un aliment sain ou un poison pour notre organisme. Nombreux sont ceux qui ont dit et prouvé qu'il était nocif, parce qu'il était raffiné. Le raffinage l'ayant diminué de ses vitamines, minéraux et comme dit le Pr W.C Martin "ce qui reste se compose de glucides raffinés. Le corps ne peut utiliser cet amidon et ce glucide raffiné que si les protéines, vitamines et minéraux qui ont été supprimés, sont présents..."En somme, le sucre raffiné n'apporte que des calories "vides".

Depuis le début de son histoire, le sucre raffiné a subi l'assaut de nombreux chercheurs. En 1816, déjà le physiologiste français Magendie publia les résultats d'une série d'expériences faites sur les animaux avec pour seule nourriture du sucre et de l'eau ; tous ont dépéri puis sont morts. L'image du sucre en pris un coup et dés lors, l'industrie sucrière subventionna discrètement la recherche scientifique pour redorer son blason terni. On abandonna certaines idées saugrenues comme celle qui en 1808 passa par la tête des industriels britanniques du sucre qui tentèrent de nourrir le bétail avec du sucre et de la mélasse. Ce fut un désastre.

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Le sucre est un facteur majeur de la détérioration des dents (caries). Le sucre provoque un excès de poids et son rôle dans le diabète est important. On connut ce dernier point lorsque F.Banting qui découvrit l'insuline, nota que chez les planteurs de canne à sucre qui mangeaient beaucoup de ce sucre raffiné, le diabète était chose courant alors que les ouvriers qui ne mâchaient que de la canne à sucre brute, personne n'en était affecté.

En 1930, le Dr Price, dans sa grande étude "Nutrition et dégénérescence physique" concluait que les peuples vivant dans des conditions primitives, étaient en bonne santé et avaient une excellente dentition car ils mangeaient les produits naturels non raffinés. La dégénérescence physique débuta chez eux lorsque notre civilisation leur a apporté les aliments sucrés et raffinés. C'est normal parce- que le raffinage enlève vitamines, minéraux, protéines et fibres et donnent un produit sans aucunes vertus nutritionnelles. Le sucre raffiné n'apporte qu'un goût agréable et un peu d'énergie calorique, une énergie rapide et fugace qui passe dans les intestins et le sang, ce qui n'est pas très recommandé non plus.

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[color=black]Le sucre raffiné
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Un autre point important à regarder avant d'aller plus loin. Les chimistes, on ne sait pas trop pourquoi, ont classé le sucre dans les glucides, alors que les glucides sont les sucres complexes que l'on trouve dans les pâtes et les pommes de terre, le pain, les céréales naturelles et complètes.
Les chaînes qui constituent ces glucides complexes sont rompues par la digestion qui libère lentement les sucres simples qui pourront être absorbés. Les nutritionnistes sérieux n'ont jamais considéré le sucre comme un glucide. Il existe également un groupe de substances particulières, similaires au sucre, mais non identiques et que l'on confond trop souvent avec le sucre. C'est le glucose, que l'on trouve généralement avec d'autres sucres dans les fruits et légumes ; c'est un élément essentiel du métabolisme des plantes et des animaux. Un grand nombre de nos aliments se transforme dans notre corps en glucose et il est toujours présent dans notre sang dont il est un élément essentiel.

Il ne faut pas confondre le sucre raffiné avec le dextrose ou sucre de maïs tiré de l'amidon, le maltose ou sucre du malt, le fructose ou sucre de fruits, le saccharose est le sucre raffiné à partir de canne à sucre ou de betterave. Tous ont des structures différentes et des effets différents sur notre organisme. La confusion est donc grave, surtout si elle est volontaire comme celle que nous font miroiter les industriels du sucre. Pour en revenir au terme de glucide, utilisé par nombre d'industriels du sucre, il est trompeur, délibérément.

Admin Nombre de messages : 25233 Date d'inscription : 17/05/2007

Sur certaines étiquettes des produits alimentaires industriels, le sucre raffiné figure sur la mention glucides pour cacher sa véritable identité. Alors il faut être méfiants. La même confusion savamment entretenue prévaut chez les marchands de sucre et leurs affidés, lorsqu'il s'agit du glucose dans le sang, élément essentiel du sang. Lorsque le taux est trop bas, ce n'est pas du sucre raffiné qu'il faut ingurgiter pour le faire remonter. Ne vous laissez pas avoir et n'ingurgitez pas bêtement du sucre ou des sucreries. C'est le contraire : si votre taux de glucose est trop bas, c'est parce que vous avalez trop de sucre, de saccharose. Arrêtez le sucre et le taux de glucose remontera tout seul.

Les méfaits du sucre

De nombreux pionniers de la psychiatrie orthomoléculaire (Abram Hoffer, A.Cherkin, A.Cott, Linus Pauling,...) ont établi que la maladie mentale était un mythe et que les troubles de l'affectivité sont les premiers symptômes de l'incapacité qu'à notre organisme a gérer le stress provoqué par la dépendance du sucre. Dans "La psychiatrie orthomoléculaire", le Dr Pauling écrit "le fonctionnement du cerveau et des tissus nerveux dépend de la vitesse des réactions chimiques de façon plus sensible que le fonctionnement d'autres tissus et organes.

La maladie mentale est surtout due à une vitesse anormale des réactions et à des concentrations moléculaires anormales de substances essentielles. Le choix des aliments est loin souvent d'être le meilleur". Pour le Dr Hoffer, "on conseille aux patients de suivre un régime en réduisant la saccharose et les aliments riches en saccharose". Référence: A.Hoffer "soigner la schizophrénie par la méga vitamine B3 " ; Price "nutrition et dégénérescence physique (Académie US de la nutrition appliquée)" ; W.Duffy "sugar blues (1993)

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La noix

On ne se lasse pas de la redécouvrir : décorative, généreuse, croquante, ses vertus thérapeutiques sont nombreuses ; côté gastronomie, elle apporte beaucoup aussi. Elle était consommée par les hommes du paléolithique. Très prisée dans le sud de la France, (elle fait partie des 13 desserts provençaux) elle fut la bienvenue lors des périodes de disette. Il existe plusieurs variétés de noix : la CORNE petite noix corrézienne à la coque allongée, la MARBOT cultivée en Corrèze et dans le Lot, est assez grosse ; c'est fraîche qu'il vaut mieux la manger. La MAYETTE grosse noix originaire d'Isère, la PARISIENNE qui malgré son nom est originaire d'Isère, et qui est très goûteuse, la FRANQUETTE savoureuse noix d'Isère qui fournit une grande part de la production française, la GRANDJEAN à petits cerneaux qui est cultivée en Dordogne.

En règle générale, on connaît la NOIX DE GRENOBLE (A.O.C.) produite entre Drome, Savoie, Isère, qui concerne 3 variétés : Mayette, Parisienne, et Franquette. La Noix du Périgord (en cours d'A.O.C.) pour les variétés Marbot, Corne et Franquette produites dans le Lot, la Corrèze, la Dordogne. Les noix se consomment fraîches ou sèches. Contrairement à ce que l'on croit, la noix fraîche est récoltée à maturité, séparée de son enveloppe (le brou, dont on tire une teinture) et vendu immédiatement. La vente de la noix fraîche est légalement limitée à septembre-octobre.

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La noix fraîche est plus riche en eau (30%) que la sèche et elle n'est pas traitée avant commercialisation. Elle se déguste avec du pain. Fraîches ou sèches, elles sont riches en graisse dont on fait une huile. Les noix sèches sont récoltées fin octobre séchées (au soleil ou dans des hangars bien ventilés ou des séchoirs). Elles sont ensuite conservées à l'abri de la lumière.

Que contient une noix (en milligrammes pour 100 gr de cerneaux)
- potassium (544) - phosphore (409) - magnésium (159) - calcium (87) - zinc (27)
- vitamine E (24,7) - vitamine B1 (0,34) - vitamine B2 (0,12) - acides gras polyinsaturés (72%) - acides gras monoinsaturés (17%)
- acides gras saturés (11%) .

Les acides gras polyinsaturés font baisser le taux sanguin du cholestérol LDL.C, un "mauvais cholestérol" qui occasionne de dangereux dépôts graisseux sur la paroi des artères (athéromes). La noix est donc indiquée pour combattre l'hypercholestérolémie et prévenir les accidents cardio-vasculaires. Riche en vitamine E, la noix a donc une action antiradicalaire importante, précieuse pour prévenir le vieillissement et le cancer.

La noix contient des acides gras essentiels (ceux que notre organisme ne sait pas synthétiser) en particulier l'oméga 6 (acide linoléique) et l'oméga 3 (acide alpha linoléique) essentiels pour la rétine et le cerveau. La noix fournit des protéines (en particulier l'arginine) des vitamines B1, B2 pour l'équilibre du système nerveux, des fibres indispensables au transit intestinal et à la prévention du cancer du colon, du potassium, et surtout du magnésium dont 70% de français sont carencés.

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[color=black]Nous saluons le projet de directive adopté par la Commission Européenne visant à harmoniser la réglementation sur les compléments alimentaires entre les différents états membres, et qui devrait être votée prochainement. C'est l'aboutissement de 10 années d'efforts d'harmonisation. Le projet est timide et il comporte des lacunes.

Il statue uniquement sur les compléments alimentaires à base de vitamines et de sels minéraux, les autres familles d'ingrédients seront réglementées plus tard et resteront soumises, en attendant aux règlements nationaux. Mais ce qu'il aurait fallu, c'est une harmonisation globale ; une seule issue, réclamer d'urgence des amendements. Car en ce domaine la France est lésée en particulier par sa législation archaïque qui dresse une liste très restrictive des plantes autorisées comme compléments alimentaires : 34 pour la France ; les Belges eux, ont le droit d'utiliser 250 plantes.
Une incohérence choquante qui révolte les producteurs français.

l'Agriculture Raisonnée[color:526c=black:526c], le vrai Bio, les vrais produits du terroir constituent des éléments nutritionnels de base qu'il faut privilégier, auxquels on pourra adjoindre si nécessaire des compléments alimentaires.

Admin Nombre de messages : 25233 Date d'inscription : 17/05/2007

Les compléments alimentaires

Les compléments alimentaires sont des sources concentrées de nutriments (vitamines, acides aminés, sels minéraux, acides gras, plantes et extraits de plantes). C'est d'ailleurs la définition qu'en donne David Birne [color=black]commissaire de la santé et à la protection des consommateurs à Bruxelles. "Les compléments alimentaires servent essentiellement à compenser un apport insuffisant de nutriments essentiels chez certaines personnes ou des groupes de population bien précis, ou, pour certains d'entre eux, à accroître l'apport de ces nutriments. L'étiquetage de ces produits doit donner au consommateur une information appropriée et claire sur la façon de les utiliser ou de ne pas les utiliser.

[color:503f=black:503f]Pour les personnes qui ont effectivement besoin de ces compléments, nous devons faire en sorte que les substances chimiques utilisées pour produire des compléments contenant des vitamines et des sels minéraux soient sûres et fassent l'objet d'une évaluation scientifique indépendantes[color=black]". Leur but est de pallier les carences de l'alimentation moderne. Des enquêtes ont révélé que les carences en vitamines et oligo-éléments touchaient entre 50 et 80% de la population, notamment zinc, magnésium, vitamine E, B1, B6, etc. Sont en cause une alimentation carencée, l'utilisation abusive de pesticides et d'engrais d'additifs alimentaires, les méthodes de conservation et même les modes de cuisson. Les consommateurs choisissent mal leurs aliments, les cuisent et cuisinent mal.

Admin Nombre de messages : 25233 Date d'inscription : 17/05/2007

Les compléments alimentaires

Les compléments alimentaires viennent pallier des carence que nous pourrions éviter. L'industrialisation des produits alimentaires, l'agriculture et l'élevage extensifs ont généré une nourriture appauvrie de ses éléments nutritifs nécessaires à notre organisme dans toutes les étapes et les circonstances de la vie (grossesse, allaitement, enfance, adolescence, vieillissement, stress, sport,...) La diététique et la nutrition, bien au point aujourd'hui nous enseignent qu'une nourriture saine, équilibrée, réfléchie, est le seul garant d'une bonne santé. Elle permet aussi des économies très substantielles sur les frais de santé. Et ce type d'alimentation ne peut plus nous être fournie par les voies naturelles habituelles, sauf le Bio. Le Bio est en effet soumis à des contraintes et des contrôles rigoureux, mais comme c'est un secteur économique prometteur, des fraudeurs et des escrocs, s'y introduisent déjà. Il en est de même pour les compléments alimentaires. Aux Etats- Unis, le marché a atteint en 98, 10 milliards de dollars et depuis, il a littéralement explosé. Ce marché subit une orientation et une progression identique en Europe. C'est un créneau juteux dans lequel les escrocs de toutes sortes vont se glisser pour en tirer des profits sur le dos des consommateurs qui en ont assez d'être la proie permanente et privilégiée des empoisonneurs.

Admin Nombre de messages : 25233 Date d'inscription : 17/05/2007

[color=black]Les alicaments
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Les alicaments sont des produits artificiellement enrichis en nutriments (vitamines, protéines, ferments lactiques, minéraux, fibres,...) Des centaines de produits alimentaires envahissent le marché, portés par une publicité tapageuse qui vante, en termes dithyrambiques, les mérites et les vertus (réels ou mensonges) de leur produits. Ces produits, plus chers bien entendu, comportent des composants dont les propriétés sont censées vous apporter de nombreux bienfaits, un "+ bien être". En fait une publicité tapageuse, et souvent mensongère qui vous invite à faire des cures (non remboursées par la sécu.) dont seuls profitent les industriels de l'alimentation.

Apparus récemment, les "ALICAMENTS", "NUTRACEUTIQUES", "ALIMENTS CONFORTS" ou "ALIMENTS SANTÉ", qu'importe après tout, ils ne sont pas régis par une législation spécifique. Mais sachons que la réglementation française interdit les abus relatifs aux denrées alimentaires, surtout s'ils revendiquent un intérêt en matière de santé et de nutrition. Les Alicaments sont régis par le décret du 7 décembre 1984 et l'arrêté du 27 septembre 1993 interdisant de "faire état sur l'étiquetage de propriétés de prévention, de traitement ou de guérison d'une maladie". Si le fabricant indique que son produit est enrichi de X ou Y qui prévient l'apparition du cancer, il est en faute. D'autre part, toutes les substances présentes dans un produit alimentaire doivent être autorisées.

Il faut aussi distinguer les produits "artificiellement enrichis" comme les alicaments, des produits "naturellement riches en..." comme les eaux minérales par exemple.

Admin Nombre de messages : 25233 Date d'inscription : 17/05/2007

Il n'a jamais été scientifiquement prouvé qu'une substance artificiellement ajoutée à un produit alimentaire permettait d'éviter certaines maladies. Selon une étude du CREDOC effectuée en 98, 77 % des français seraient prêts à payer plus cher pour un produit ayant une valeur ajoutée en santé (type Alicament), donc une brèche dans laquelle se sont engouffrés les industriels de l'alimentaire qui, sur ce nouveau créneau très porteur ont vendu en 99 pour 165 milliards d'Alicaments dont 7 milliards rien qu'en France. Il n'y a pas que l'aliment qui s'est enrichi.

Peut-on consommer des Alicaments ? absolument, ce sont des aliments très sains, mais plus chers ; à l'analyse, certains ont révélé des qualités nutritives, très faibles, d'autres légèrement supérieurs. Dans d'autres cas, certains "enrichis" ne sont pas supérieurs à un produit classique. Des produits plus chers pour des bienfaits qui ne sont pas toujours prouvés, sauf peut être dans le cas des OMEGA 3. Mais ce n'est que le début des Alicaments, les problèmes suscites sont moindres mais aux USA où ils sont devenus un phénomène de société, ils présentent des risques graves qui nous étudierons prochainement. J'espère que la France n'en arrivera pas à ce stade, elle qui a l'habitude de copier les mauvais modèles.

Admin Nombre de messages : 25233 Date d'inscription : 17/05/2007

Le sel

La quasi totalité des études faites à ce jour démontrent qu'il y a un lien étroit entre le niveau de consommation de sel et l'hypertension artérielle. Plus celle-ci est forte plus les risques d'accidents cardio-vasculaires cérébraux et infarctus du myocarde sont grands. Ce problème touche plus de 40% de la population et il est en augmentation constante. D'autre part, le sel a aussi des effets sur le développement de l'ostéoporose. Les études réalisées (notamment par l'INSERM) concluent que nous ingérons trop de sel, 12 grammes par jour soit l'équivalent d'une cuillère à soupe, alors qu'il en faudrait 6 à 7 grammes par jour c'est à dire moitié moins.

Pourtant les consommateurs ne sont apparemment pas des fanas de la salière, l'usage du sel n'ayant jamais été aussi faible. Le responsable ? l'industrie agro-alimentaire qui en incorpore à dose excessive dans tous ses produits, le chlorure de sodium ayant un pouvoir important de rétention d'eau, augmentant artificiellement le poids des produits et le prix de vente ; sur des centaines de milliers de tonnes, ça fait du fric, aussi les industriels de l'alimentaire y vont allègrement, le sel leur permettant de se sucrer...

D'ailleurs il n'y a pas que l'industrie alimentaire qui se "sucre" avec l'excès de sel, et il est bien connu que le malheur des uns fait le bonheur des autres. En effet le nombre d'hypertendus et de candidats aux accidents cardio vasculaires voire à l'ostéoporose sont nombreux, ce qui fait l'affaire de l'industrie pharmaceutique qui a là une véritable mine d'or, avec les médicaments antihypertenseurs dont les prescriptions sont en augmentation constante et le prix loin d'être négligeable.
Si les pouvoirs publics ne prennent pas rapidement les choses en mains, alors qu'ils connaissent pertinemment les dangers courus, un jour l'ardoise aussi sera salée avec, après les morts, des demandes d'indemnisations comme pour le tabac, le sang contaminé, l'amiante,... des erreurs en série que l'on aurait pu éviter. On a dit que "gouverner c'est prévoir".

Admin Nombre de messages : 25233 Date d'inscription : 17/05/2007

Les besoins énergétiques

Ces besoins varient d'un individu à l'autre et chez un même individu en fonction de son âge et de son activité. Il est difficile de donner des chiffres précis d'apport énergétique pour l'ensemble de la population. On conseille certaines orientations : chez l'homme 2000 à 3000 calories jour et chez la femme de 30 à 40 ans 1800 à 2200 cal/jour. Les besoins diminuent de 5 à 10 % par tranches de 10 ans. Au cours de la grossesse, les besoins augmentent et on les situe pour le trimestre à 150 cal/j supplémentaires et 300 cal/j en fin de grossesse. Chez l'enfant, on estime ces besoins à 1400 cal/j de 1 à 3 ans et de 2200 vers 9 ans, chez les ados de 2400 à 3000 cal/j.

Apports énergétiques: Protéines, lipides, fibres, minéraux, vitamines. Les données épidémiologiques indiquent qu'une alimentation trop riche en lipides favorise le développement de maladies cardio-vasculaires. Il est conseillé de réduire la part des lipides dans l'alimentation. Les protéines devraient représenter 15% des apports énergétiques, les lipides 35%, les glucides 50%. Les fibres doivent être assurés par la consommation de pain complet, de céréales et de légumes. Tout ceci peut être complété par un apport hydrique de 1,2 à 1,3 litre/jour (adulte).

En ce qui concerne les vitamines, ces besoins varient selon l'âge et l'environnement. En occident, on a longtemps cru que l'alimentation habituelle couvrait parfaitement les besoins. C'est de moins en moins vrai : la précarité, la pauvreté, la mal bouffe, contribuent à augmenter les carences en vitamines. Les besoins en minéraux présentent les mêmes remarques : carences notamment en calcium, mais surtout en magnésium, parfois en fer. Les besoins journaliers en calcium se situent entre 600 et 1100 mg, ceux en magnésium entre 50 et 400 mg, en fer de 10 à 20 mg, potassium 3500 meg, manganèse 4 mg, phosphore 800 mg/j, sélénium 10 à 75 meg, zinc 15 mg, cuivre 1,2 mg. Le dépassement des doses journalières peut être grave. Il faut toujours consulter un médecin ou un nutritionniste qui évaluera vos besoins.

Admin Nombre de messages : 25233 Date d'inscription : 17/05/2007

La vitamine A : C'est une vitamine liposoluble existant sous 2 formes : le rétinol et le beta-carotène (fruits et légumes de couleurs vives) que notre organisme convertit en vitamine A lorsque cela devient nécessaire.

La vitamine C: Elle est hydrosoluble c'est à dire qu'elle n'est pas stockée par notre organisme, donc il faut en ingérer dans notre alimentation quotidienne. La Vitamine C ou acide ascorbique est polyvalente et indispensable à la vie. C'est un antioxydant puissant et elle stimule le système immunitaire.

La vitamine D : La vitamine du soleil est liposoluble. Les rayons du soleil sur la peau permettent à l'organisme d'en produire. Elle n'est présente qu'à dose infime dans l'alimentation. Elle est nécessaire à l'assimilation du calcium et du phosphore et elle régule le métabolisme du calcium.

La vitamine E : Elle est Liposoluble. C'est une des principales vitamines antioxydants. Elle stimule le système immunitaire et elle protège des maladies cardio-vasculaires.

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La vitamine H : ou Biotine. Elle est aussi appelée vitamine B8. Ce n'est pas réellement une vitamine mais elle agit de concert avec le complexe vitaminique B. Elle est hydrosoluble, elle participe à la fonte et au métabolisme des graisses. Son action est surtout efficace en association avec les vitamines – A, B2, B3 et B6.

La vitamine K: Elle est liposoluble et elle est indispensable à une bonne coagulation sanguine.

Lavitamine B1 ou Thiamine intervient dans tous les processus métaboliques majeurs du système nerveux, des cellules, du coeur et des muscles.

La vitamine B3 ou Riboflavine, est hydrosoluble. Insuffisamment stockée dans notre corps, les carences sont fréquentes. Antioxydante, elle est nécessaire à la production d'énergie. Elle est essentielle à la beauté de la peau, des cheveux, des ongles. Il y a beaucoup de vitamine B3 dans les légumes vert.

La vitamine B3 ou PP ou Niacine : Hydrosoluble, elle est essentielle à la préservation du système nerveux et à la synthèse des hormones sexuelles. Elle est utile dans la prévention du diabète, des maladies cardiaques et dans la chute du cholestérol.

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Vitamine B5 ou ACIDE PANTOTHEMIQUE : stimulateur de l'énergie, du système immunitaire, il préserve des maladies cardiaques et fait baisser le taux de cholestérol, régularise le métabolisme des graisses.

Vitamine B6 ou PYRIDOXINE : Hydrosoluble. Elle est écessaire à la production de globules blancs et d'anti-corps, et permet l'assimilation de B12. C'est la plus indispensable au système immunitaire. Elle est nécessaire au fonctionnement de plus de 60 enzymes et au métabolisme protidique.

Vitamine B9 (Acide Folique) dite aussi Vitamine BC. Son taux trop faible conduit à l'anémie. Il est essentiel à la croissance cellulaire, et à l'assimilation du sucre et des acides aminés,...

Vitamine B12 ou CYANOCOBALAMINE : Hydrosoluble, elle est la seule vitamine à contenir des minéraux essentiels. Sa carence provoque l'anémie.

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Les apports nutritionnels

L'AFSSA (Agence Française de Sécurité Sanitaire des Aliments) vient de faire paraître, en un épais volume de 600 pages, la nouvelle édition des ANC (Apports Nutritionnels Conseillés) et fixe les besoins en énergie et en nutriments de plusieurs groupes de populations française. Ces nouvelles normes sont loin de faire l'unanimité chez les chercheurs, ainsi que certaines conclusions de l'AFSSA. Quelques échantillons. Dans le chapitre consacré aux glucides (sucres) les experts de l'AFSSA affirment que "le rôle diabétogène des glucides est une croyance populaire très répandue mais ne reposant sur aucune base scientifique". Ce qui est très curieux, d'autant plus que cela va à l'encontre de deux précédentes études conduites auprès de 108.000 hommes et femmes et montrant que les personnes consommant une alimentation glucidique pauvre en fibres ont un risque de diabète (type 2) multiplié par 2,2. Or ce rapport, l'AFSSA fait l'impasse dessus, curieux tout de même. Autre sujet donnant lieu à polémique, le sel.

Selon l'AFSSA, la consommation quotidienne moyenne de sel en France serait proche de l'objectif optimal de 6 à 8 g/j et en conséquence "...il n'est pas justifié de développer des campagnes de communication contre le sel". Position scandaleuse et non fondée qui a fait réagir la plupart des nutritionnistes (voir notre article sur le sel). En effet, l'on sait que le sel que les français consomment en trop grande quantité (plus de 10 à 12 g/j - selon PL Meneton de l'Inserm) est "responsable de la mort de milliers de personnes". Toutes les études menées ont démontrée le contraire de ce qu'affirme l'AFSSA. Un autre et dernier sujet de contestation (car ils sont très nombreux et nous les analyserons plus tard dans un autre article), celui des vitamines. La vitamine D par exemple dont les besoins sont importants notamment en hivers sont revus à la baisse par l'AFSSA et même divisés par 2 alors qu'ils sont 3 ou 4 fois supérieurs. Pour d'autres vitamines, les besoins sont souvent inchangés ou revus à la baisse.

Admin Nombre de messages : 25233 Date d'inscription : 17/05/2007

La spiruline

La spiruline est une minuscule algue bleue appelée aussi "arc en ciel". Depuis la fin des années 50, on la récolte dans les eaux chaudes du Lac Tchad où sa récolte est une pratique locale. Dès les premières analyses de cette algue, les résultats provoquèrent un très fort engouement. Au point de vue nutritionnel, d'abord cette algue microscopique provoqua une véritable petite révolution, d'autres recherches ultérieures montrèrent ensuite que la Spiruline était efficace pour faire baisser le cholestérol, avait une action préventive et curative contre le cancer et une action souveraine contre l'anémie. une ONG "Antenna Technologie" (créée en 1989) a décidé d'utiliser la Spiruline pour combattre la faim dans le monde et à cet effet a décidé de promouvoir la culture de la Spiruline pour lutter contre la malnutrition.

Sa teneur en protéines (60 à 70% en moyenne), sa richesse en acides aminés, sa forte teneur en chlorophylle (1,1g au 100 gr) sa richesse en vitamines, telles que : vitamine A sous forme de beta-carotène et vitamine B3 (11,5 mg/100 g) qui réduit le taux de cholestérol, ses vitamines B12, sa richesse en acides gras polyinsaturés (2,4g/100 gr), ses fibres végétales (8g/100g), sa richesse en fer (10g de spiruline apportent 5 fois le tiers de la ration quotidienne). Sa richesse en protéines, vitamines et acides gras puissent pallier aux carences de menus déséquilibrés et donner du tonus pour lutter contre la fatigue et les asthenies. Sa richesse en fer est importante parce- que le fer et oligo-éléments essentiel, est un des constituants de l'hémoglobine qui assure le transport de l'oxygène dans le sang. Sa richesse en beta-carotène, chlorophylle et phycocianins permet de réduire les effets négatifs des chimiothérapies. Cette algue est étonnante et justifie l'engouement que ses analyses ont fait ressortir.

Admin Nombre de messages : 25233 Date d'inscription : 17/05/2007

L'alimentation

On sait aujourd’hui que l’alimentation dépend de la capacité de chaque individu à la métaboliser et que le même régime peut avoir des effets différents chez des individus ayant des caractéristiques métaboliques différentes. Notre groupe sanguin (O, A, B ou AB) serait la clé de notre équilibre biochimique, car chaque groupe sanguin possède des caractéristiques spécifiques. Il faut savoir que le groupe O est le plus répandu des groupes sanguins (50 à 55%) et aussi le plus ancien puisqu’il est apparu il y a environ 50.000 ans à l’époque où l’homme est un chasseur-cueilleur.

Le groupe A

Représente 30 à 35% de la population mondiale ; il est apparu un peu plus tard, vers -10000/- 20000 à l’époque où l’homme va commencer à cultiver.

Le groupe B

Est le plus récent puisqu’il apparaît vers -5000/-10000 ; il représente aujourd’hui 10 à 15% de la population mondiale. On dit que c’est le groupe « nomade ».

Le groupe A-B, récent, est apparu il y a environ 1 millénaire ; c’est le groupe dit « moderne » qui représente 3 à 5% des individus, sauf en Inde où l’on en recense 8,5% à 9%. C’est un groupe complexe, celui des « Receveurs Universels ».

Admin Nombre de messages : 25233 Date d'inscription : 17/05/2007

Groupe O

Points Forts : Système immunitaire solide, très bon métabolisme et tube digestif robuste. Bons taux d’acidité gastrique.
Points Faibles : Le changement d’alimentation ou d’environnement lui convient mal. Tendance à l’Hypothyroïdie, aux dépressions maniaco-dépressives , aux troubles de la coagulation, aux ulcères et aux allergies respiratoires (asthme)
Il faut à ce groupe O un régime riche en protéines, limité en céréales, en pois et légumes secs. Il lui faut : fruits et légumes, poisson et viandes maigres.

Groupe A

Points Forts : Bon système immunitaire qui métabolise bien les nutriments. S’adapte bien aux changements diététiques et environnementaux.
Points Faibles : Digère mal les protéines de la viande ( pour les personnes qui mangent des animaux, raison de plus pour devenir végétalien), a le tube digestif sensible, le système immunitaire est vulnérable aux attaques bactériennes ; taux élevé de cortisol.
Médicalement : Risques d’anémie, de cancer, de troubles du foie et de la vésicule, de stress et d’affections cardiaques.
Nutrition : Digère mal les protéines et très bien les glucides. Profil nutritionnel : Fruits, légumes, pois, légumes secs, céréales et tofu.

Admin Nombre de messages : 25233 Date d'inscription : 17/05/2007

Groupe B

Points Forts : Bon système immunitaire, s’adapte bien aux changements environnementaux. Bon équilibre nerveux.
Points Faibles : Pas vraiment de faiblesses mais des déséquilibres. Tendances aux affections auto-immunes ; taux de cortisol élevé.
Médicalement : Risques d’affections auto-immunes (sclérose en plaques) de diabète de type 1, syndrome de fatigue chronique.
Nutrition : Supporte bien les produits laitiers « allégés » mais en quantité modérée. Peut envisager un large éventail d’aliments, mais de façon modérée et équilibrée. Eviter le gluten, le poulet, le maïs, le sarrasin et les produits à base de blé complet.

Groupe A- B

Points Forts : Conçu pour le monde moderne, avec un système immunitaire tolérant.
Points Faibles : Ce système immunitaire tolérant peut toutefois favoriser les infections bactériennes. Faible acidité gastrique , tube digestif sensible.
Médicalement : Taux élevé de coagulation, propension aux anémies, aux affections cardiaques et au cancer.
Nutrition : Manger un peu de tout avec modération. Toutefois, exclure le gluten, le sarrasin, le maïs, le poulet, les produits à base de blé complet. Les produits laitiers allégés sont conseillés.

A lire : Editions de l'homme; de Karen Vago et Lucy Degremont « Mangez mieux selon votre groupe sanguin ».

Admin Nombre de messages : 25233 Date d'inscription : 17/05/2007

Effets physiologiques des vitamines
et oligo-éléments

Tableaux des vitamines et oligo-éléments dans les principaux aliments

Les tableaux qui suivent ont été conçus de manière à pouvoir être utilisés commodément. Ils ne comportent pas de chiffres. Les chiffres donnés habituellement ne sont que des ordres de grandeur, une teneur en vitamine pouvant varier de un à dix suivant le mode de culture ou de conservation. Calculer les poids d’aliments nécessaires à nos besoins journaliers, en se référant aux doses de vitamines et d’oligo-éléments que spécifie la médecine est compliqué.

» végétalisme
» vegetarianismo estricto / strict vegetarianism / végétalisme