n tests sur animaux horreur , mensonge = "aucune' cruauté!

Dans une récente réponse aux implications du système REACH sur les tests animaux, la Commission européenne a réaffirmé son soutien à l'intensification de la mise au point de méthodes de test alternatives. Au titre du 5e programme-cadre (5e PC) pour la recherche, la Commission a donc financé plus de 43 projets de recherche de méthodes in vitro à hauteur de quelque 65 millions d'euros. Selon la Commission, dans le 6e PC, les chercheurs sont invités "plus que jamais" à soumettre des projets appropriés. La Commission estime également que "cela pourrait déboucher sur des méthodes de test alternatives validées au niveau international, permettant d'obtenir des résultats acceptables par toutes les autorités de réglementation". Le Centre Commun de Recherche (CCR) de la Commission joue également un rôle clé dans le cadre d'une initiative de l'OCDE relative à la validation de méthodes informatiques et la Commission a entamé la révision de la directive 86/609/CEE sur la protection des animaux utilisés à des fins expérimentales ou à d'autres fins scientifiques.

Contre l'expérimentation animale (LillePlus - 24 avril 2004)
Dans le cadre de la semaine mondiale pour la libération des animaux de laboratoire, une manifestation est organisée samedi, de 14h à 17h30 rue du Professeur-Calmette, devant l'institut Pasteur, à Lille.
Les manifestants dénoncent les expérimentations qui ont lieu chaque année, selon eux, sur 800 millions d'animaux.
Pour plus d'informations, rendez-vous sur Internet : www.semaine-mondiale-animaux-laboratoire.org

Près de 150 militants ont manifesté contre la vivisection (© SWISSINFO - 26 avril 2004)

Quelque 150 militants se sont rassemblés à Bâle pour manifester contre les expérimentations animales à l'occasion de la journée mondiale contre la vivisection. Le laboratoire pharmaceutique Covance était notamment dans leur ligne de mire.

La polémique autour de Covance avait éclaté en Allemagne avant de s'étendre en Suisse. Le journaliste libre Friedrich Mülln avait travaillé cinq mois comme soigneur d'animaux auprès de Covance Laboratories GmbH à Münster (D) afin de pouvoir photographier clandestinement les animaux détenus. La firme avait auparavant catégoriquement refusé toute autorisation de tournage.

Les clichés du reporter ont notamment été diffusés par la chaîne nationale de télévision allemande. Covance tente depuis d'empêcher par voie juridique la diffusion de la vidéo ainsi que les attaques contre son laboratoire.

Des mesures provisionnelles ont ainsi été prononcées. Elles concernent également la Suisse et en particulier la Communauté antivisectionnistes suisses (AGSTG). Covance interdit aux opposants aux expérimentations animales de publier des photos, des déclarations et même de citer sa raison sociale. L'association n'a ainsi pas été en mesure de montrer du matériel ni de faire de déclaration à propos de Covance. Le porte-parole de l'AGSTG a tout de même profité samedi à Bâle de se plaindre de la censure dont elle fait l'objet. Une manifestation non-autorisée avait déjà été organisée à Genève où Covance a une filiale. L'AGSTG estime que Covance tue environ 1000 singes par année à Münster pour le compte de diverses firmes pharmaceutiques, dont Roche.

Vivisection animale : vaste problème, petite manif (Le Télégramme Brest - 26 avril)

Une petite dizaine de personnes s’est réunie samedi, à Brest, afin de marquer la journée mondiale des animaux de laboratoire (JMAL), reconnue par les Nations Unies. Déguisés en chercheurs de laboratoire et en lapins, ils entendaient ainsi récuser fermement les expériences cosmétiques ou pharmacologiques sur les êtres vivants.

«Les résultats obtenus sur des souris ou des rats et que l’on essaie de transposer à l’être humain sont faux et archi-faux», explique, ainsi, le Dr Breining, représentante de People for ethical treatment of animals (PETA), l’une des associations qui, avec One Voice, appelait à ce rassemblement en ville. La scientifique argue, ainsi, que le peu de ressemblances génétiques entre le rongeur et l’homme ne permettent pas le pleine efficience des traitements médicamenteux élaborés pendant les expériences. «Souvent, on travaille pendant cinq ans et on tue des milliers d’animaux en pure perte», poursuit la scientifique, «mais de telles expériences ne coûtent pas cher, voici pourquoi on les porte et pourquoi on les subventionne».

Face à la mairie, les manifestants ont ainsi expliqué, à qui le voulait, le choix qu’ils proposent, à savoir développer les expériences sur des cellules ou tout autre type de recherche dite «alternative».





Déguisés en chercheurs de laboratoire et en lapins, une petite dizaine de personnes ont manifesté, samedi, à Brest afin de récuser les expériences cosmétiques ou pharmacologiques sur les êtres vivants.

Non à l'expérimentation animale (Metro Paris - 26 avril 2004)

A l’occasion de la Journée mondiale des animaux de laboratoire, des centaines de personnes se sont mobilisées dans toute la France pour dire “non” à l’expérimentation sur les animaux et “oui” au développement des méthodes alternatives. Deux rassemblements ont été organisés place de la Sorbonne (5ème) et au Forum des Halles (1er). Ce rendez-vous a permis de distribuer 5 000 tracts contre l’expérimentation animale et en faveur des méthodes substitutives, de diffuser une documentation détaillée et de faire signer des pétitions.

Les animaux de labo protestent (Le Soir - 27 avril 2004)

Trois associations antivivisectionnistes (SEA, APMA et UBAEAV) ont protesté, ce lundi, devant le cabinet du ministre fédéral de la Santé publique, Rudy Demotte (PS). Avec des pancartes, déguisés en animaux domestiques, les membres de ces groupements ont plaidé pour la modification de la loi de 1986 qui permet l'expérience scientifique sur les animaux. Nous voulons, précise Bruno Lecomte, la suppression des tests sur les animaux (vivisection) et le recours à des vétérinaires qui soient indépendants du laboratoire qui les occupe. S'ils sont payés par les labos, ils ne portent plus plainte. Nous demandons aussi plus d'inspecteurs vétérinaires sur le terrain: ils ne sont que quatre pour tout le pays!

Depuis 1993, le ministère impose, au sein des laboratoires, un comité déontologique, un conseil de bien-être, une commission d'éthique et des inspecteurs vétérinaires. Les associations demandent une amélioration de ces instances et l'utilisation de méthodes alternatives. C'est notre priorité. Les scientifiques doivent remplacer les animaux par la culture de cellules et d'organes. Ces méthodes doivent être reconnues par le gouvernement, souligne Solange T'Kint.

Le nombre d'animaux utilisés, en 2002, en laboratoire ("maltraités" selon les associations) s'élève à 700.000. Un chiffre en augmentation.

Ce message est excessif, réagit un chercheur de l'Université catholique de Louvain (UCL). Il y a, depuis quelques années, une diminution de la consommation d'animaux en laboratoire. Nous utilisons déjà la méthode alternative, mais celle-ci est parfois limitée. Qu'est-ce qu'on fait quand des organismes entiers sont nécessaires? Pour nous, il est impensable de tester directement de nouveaux produits sur les humains. La suite des discussions entre les trois associations et le cabinet du ministre de la Santé a été constructive, nous rapporte-t-on: Le ministère a accepté de déployer sept inspecteurs vétérinaires supplémentaires sur le terrain. Les autres propositions sont en cours d'analyse.

Manifestation pour la défense des animaux de laboratoire et contre la vivisection (Ouest France - 27 avril 2004)

Le 24 avril était journée nationale de défense des animaux de laboratoire. Le Semaine mondiale pour la libération des animaux (SMAL) dénonce le sacrifice annuel de millions d’animaux. Dans les laboratoires, un animal meurt toutes les douze secondes en France.

Samedi dernier, une quinzaine de personnes se sont réunies place de la Liberté pour manifester. Déguisés en chercheurs ou en animal de laboratoire, les membres du mouvement veulent dire stop à la vivisection et à la dissection des animaux, notamment à la faculté des Sciences de Brest. Une pétition circule. «Nous demandons au président de l’UBO que la vivisection et la dissection soient remplacées par des méthodes modernes et non cruelles, telles que la simulation de dissection sur ordinateur ou la dissection de grenouilles en tissu avec tous leurs organes, explique un membre du mouvement. Tous les animaux ressentent la douleur physique et connaissent la peur et la détresse psychologique.»

Contact : ara@voila.fr





Déguisés en chercheur ou en animal, les membres de la SMAL veulent sauver les animaux de laboratoire

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cette association est contre les tests sur les animaux :

www.proanima.fr

Même si un produit comporte l'étiquette " Non testé sur les animaux", celui ci peu très bien l'être. La mention "produit non testé sur les animaux" n'est pas une garantie. Cela signifie seulement que le produit fini n'a pas été testé sur les animaux.(He oui, mais sa tout le monde l'ignore). So ce sont les matières premières qui sont l'objet de tests sur les animaux. Ces tests sont parfois réalisés par les fournisseurs des grandes marques, ce qui leur permet de dire qu'elles ne font pas de tests sur les animaux. Les produits pour les cheveux LA COUPE! Sur toute les listes de produits testé sur les animaux, La Coupe en fait partie même s'il porte l'enseigne sur leur produits "sans tests sur les animaux". Donc si vous tenez a coeur le bien des animaux, renseignez vous sur les produits".