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 n tests sur animaux horreur , mensonge = "aucune' cruauté!

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MessageSujet: Re: n tests sur animaux horreur , mensonge = "aucune' cruauté!   n tests sur animaux horreur , mensonge = "aucune' cruauté! - Page 3 Icon_minitimeDim 27 Mai - 3:56

Vivisection

C'EST GRÂCE À L'EXPÉRIMENTATION ANIMALE QUE L'INSULINE FUT DÉCOUVERTE ET QUE LE DIABÈTE PEUT ÊTRE GUÉRI

On a sacrifié une quantité démesurée de chiens depuis le siècle dernier pour tenter de comprendre le diabète, la troisième cause de décès en Amérique du Nord, derrière les maladies cardio-vasculaires et le cancer. De fait, le Nord-Américain a une chance sur cinq de développer un diabète au cours de son existence et environ dix millions d’Américains seraient atteints de la maladie. On estime à cinq milliards par année les coûts reliés à cette maladie aux États-Unis. Depuis la découverte de l’insuline, les morts par diabète n’ont pas diminué mais augmenté. L’incidence de cette maladie double tous les dix ans.

On croit à tort que ce sont les Canadiens Best et Banting qui, en 1921, ont démontré le rôle de l’insuline dans cette maladie. En 1788, le médecin Thomas Cawley avait déjà fait le rapport entre le diabète et la dégénérescence du pancréas - sans expérimentation animale - en examinant le corps d’un de ses patients, mort de cette maladie. Déjà en 1766, un autre médecin Matthew Dobson détectait un taux élevé de sucre dans l’urine d’un de ses patients.

Il y a 50 ans, le Dr. J.E.R. McDonagh, chirurgien anglais, émettait des doutes quant à l’utilité de l’insuline : « Le diabète est un symptôme, non une maladie, et l’insuline ne fait que pallier ce symptôme. Le médicament ne donne pas d’éclaircissement sur la cause, il n’agit pas de la manière décrite et, si la cause avait été trouvée et supprimée comme elle peut l’être, il n’y aurait pas eu de raison de l’utiliser ».

Pour étudier le diabète, l’un des animaux favoris des vivisecteurs est le chien, même si cet animal a des habitudes alimentaires et des réactions organiques radicalement dissemblables à celles des humains. Si l’expérimentation animale avait été abolie dans le passé, peut-être aurions-nous compris un peu plus les mécanismes véritables du diabète au lieu de nous fier sur des expériences absurdes sur des chiens ou des rongeurs.

Heureusement, de plus en plus de chercheurs croient que le diabète est relié à l’alimentation ou à des facteurs environnementaux.

Dans la revue Lancet, le Dr Inder Sigh rapporte une étude au cours de laquelle 80 diabétiques ont été soumis à un régime à faible teneur en matières grasses - 20 à 30 g par jour - et absolument sans sucre, En six semaines, plus de 60% d’entre eux pouvaient se passer d’insuline. Dans les semaines qui ont suivi, ce chiffre est passé à 70%. Les insulino-dépendants qui restaient n’avaient encore besoin que d’une infime fraction de leur dose habituelle. Une autre étude, rapportée par l’American Journal of Clinical, démontre que 45% des 20 diabétiques observés - tous insulino-dépendants - ont pu interrompre leurs injections d’insuline après seulement 16 jours d’un régime riche en fibres et pauvre en lipides.

Les cas de diabète sont rares, sinon inexistants, dans les pays où on consomme surtout des céréales, des légumes et des fruits. Dans les cas de diabète juvénile, certains avancent l’hypothèse que les vaccins pourraient déclencher le processus de la maladie.
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MessageSujet: Re: n tests sur animaux horreur , mensonge = "aucune' cruauté!   n tests sur animaux horreur , mensonge = "aucune' cruauté! - Page 3 Icon_minitimeDim 27 Mai - 3:57

Vivisection

CE N'EST PAS GRÂCE À L'EXPÉRIMENTATION ANIMALE QUE LE CANCER PEUT ÊTRE GUÉRI

Depuis 1970 au Canada, l’incidence du cancer grimpe de 1% par année. Une personne sur trois est atteinte. Dans un rapport récent, un groupe de travail national «cancer 2000 » prédit pour les 10 prochaines années une augmentation de 50% du nombre de personnes souffrant de cancer : « Nous approchons du point de crise. Malgré l’investissement des dernières décennies, tant en effort qu’en argent, nous ne sommes pas parvenus à réduire l’incidence globale du cancer et le taux de mortalité ».

Le cancer est une maladie reliée à la fois aux émotions, au système immunitaire, aux habitudes de vie et alimentaires, à des facteurs environnementaux. Une tumeur n’est pas une maladie mais un symptôme. La médecine officielle continue à confondre maladie et symptômes et à ne traiter que ces derniers.

Le rat, le chat, le chien ou le singe ne sont pas des modèles plausibles pour trouver des solutions à cette explosion des cas de cancer. Une tumeur provoquée délibérément chez un animal n’est guère semblable à une tumeur humaine qui se développe pendant de longues années.

Comme le fait remarquer avec raison le Dr Robert Sharp : « L’utilisation d’animaux, qui ont tendance à développer des cancers différents de ceux des êtres humains, pourrait être la raison pour laquelle la recherche sur le cancer n’a eu aucun succès ».


Dernière édition par le Jeu 5 Juil - 18:57, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: n tests sur animaux horreur , mensonge = "aucune' cruauté!   n tests sur animaux horreur , mensonge = "aucune' cruauté! - Page 3 Icon_minitimeDim 27 Mai - 3:57

C'EST GRÂCE À L'EXPÉRIMENTATION ANIMALE QUE LE SIDA POURRA ÊTRE GUÉRI

Afin d’amasser des dons et de l’argent, les laboratoires se servent des mêmes arguments pour le Sida que ceux utilisés pour le cancer. Des animaux de toutes sortes mais principalement des singes, des chimpanzés sont délibérément infectés par le virus du Sida malgré le fait que les vivisecteurs ne peuvent transmettre un Sida humain à un animal. Là encore, les animaux réagissent différemment à un virus humain. À force de jouer aux apprentis sorciers avec des virus toxiques, les vivisecteurs ont peut-être contribué à répandre une maladie comme le Sida.

SANS LA VIVISECTION, DES DÉCOUVERTES CHIRURGICALES ( COMME LES TRANSPLANTATIONS ) N'AURAIENT PU ÊTRE POSSIBLES

« Je n’ai jamais connu un seul bon chirurgien qui ait appris quoi que ce soit par les animaux ». (Abel Desjardins, chirurgien en chef du Collège de la Chirurgie de la Faculté de Paris). L’étude des traités d’anatomie, la dissection de cadavres humains, l’observation des patients, voilà la véritable école de chirurgie. L’anatomie d’un chien ne peut en aucun cas nous renseigner sur celle d’un humain. Croire que les transplantations d’organes sont un progrès demeure une illusion. Il n’y aura jamais assez d’organes disponibles pour toutes les maladies. Seuls les bien nantis pourront avoir droit à cette technique coûteuse. Les plus pauvres alimenteront le marché en vendant leurs reins, leurs yeux, etc.

Même en sacrifiant des singes ou des cochons afin de transplanter leurs organes à des humains, l’incidence des maladies ne baissera pas, tant que l’humain ne se sentira pas «responsable». Responsable de sa santé par des changements alimentaires, émotionnels ou environnementaux. Les patients ayant subi une transplantation risquent de 100 à 140 fois plus le risque de contracter le cancer, entre autres choses à cause des médicaments anti-rejets.


Dernière édition par le Mer 15 Aoû - 11:29, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: n tests sur animaux horreur , mensonge = "aucune' cruauté!   n tests sur animaux horreur , mensonge = "aucune' cruauté! - Page 3 Icon_minitimeDim 27 Mai - 3:58

Vivisection

SANS L'EXPÉRIMENTATION ANIMALE, ON N'AURAIT PAS DÉCOUVERT LE VACCIN CONTRE LA POLIOMÉLITE

De plus en plus, des voix s’élèvent dans le milieu médical afin de dénoncer la nocivité des vaccins. Celui de la poliomyélite, jugé «miraculeux» dans les années 50, s’avère en fait dangereux. Fait à partir de reins de singes, le vaccin fut maintes fois contaminé par des virus animaux. Le vaccin augmente la vulnérabilité à la maladie et la plupart des cas de polio actuels sont dus au vaccin : « Contrairement aux croyances antérieurement établies à propos des vaccins du virus de la polio, l’évidence existe maintenant que le vaccin viral vivant ne peut être administré sans risque de produire la paralysie », affirme le Dr Jonas Salk. On ne trouve pas de preuve scientifique indiquant que le vaccin a fait disparaître la maladie. La polio a également disparue dans d’autres parties du monde où il n’a pas été utilisé.

LES VIVISECTEURS NE SONT PAS TOUS DES BARBARES OU DES SADIQUES, CE SONT DES « HOMMES DE SCIENCE » EN QUÊTE DE CONNAISSANCE


Il semble que pour beaucoup de vivisecteurs «la fin justifie les moyens » et que leurs chemins menant à la connaissance sont si tortueux et sacrés qu’ils impliquent la torture d’animaux et d’humains. Certains vivisecteurs pensent peut-être sincèrement que leurs expériences sont utiles pour l’humanité. Mais infliger des blessures, des coups, des brûlures ou des intoxications graves à un animal relève de la cruauté. Ne pas le voir indique que les vivisecteurs souffrent d’un genre d’aveuglement conditionné par les dogmes de la religion scientifique. La vivisection les déshumanise et les désensibilise face à la souffrance d’autrui. Que vaut une intelligence privée de sensibilité ?

Si un vivisecteur inflige à des chiens différentes brûlures ou greffes, il est justifié de le faire au nom de la science. S’il s’agit d’une personne «ordinaire», elle sera traduite (avec raison) en justice et taxée de cruauté. Sacrifiés sur l’autel de la science, des animaux de laboratoire furent exposés aux micro-ondes durant plusieurs jours, subissant de graves blessures. À la même époque - la fin des années 80 - un jeune citoyen de la région d’Ottawa fut condamné à la prison après avoir tué un chat en le cuisant au four à micro-ondes ; la Cour a jugé ce délit comme une sauvagerie immonde.

Le montréalais Hans Selye, dont une chaire universitaire porte son nom, a bénéficié de subventions considérables afin de soumettre des milliers d’animaux - lapins, chiens, chats, souris, rats - à des situations «stressantes» : brûlures, intoxications, noyades, expositions à la chaleur et au froid excessifs, ablations des glandes, écrasements de la queue et des testicules, pattes brisées, chair écrasée, etc.

Claude Bernard (1813-1878) cuisait des chiens vivants dans des fours spécialement aménagés à cet effet. Celui qu’on considère comme le «père de la vivisection » est reconnu par plusieurs scientifiques comme un génie. On pourrait plutôt lui appliquer cette définition du philosophe Johannes Udes : « le vivisecteur est un individu moralement sous-développé avec des tendances pathologiques ».

L’être humain, même s’il est un «homme de science », n’a pas un droit de propriété, ni un droit de disposition absolue sur les animaux et ceux-ci ne peuvent être considérés comme de simples objets. Les animaux, comme tout être vivant, ont des droits fondés sur leur capacité de souffrir : « Je suis radicalement contre la vivisection. À mes yeux, cette pratique est inacceptable, c’est de l’agression. Une souffrance est une souffrance et flamber un chien, c’est flamber un chien, quelles que soient les connaissances qu’on en retire ».
(Marcel Duquette)
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MessageSujet: Re: n tests sur animaux horreur , mensonge = "aucune' cruauté!   n tests sur animaux horreur , mensonge = "aucune' cruauté! - Page 3 Icon_minitimeDim 27 Mai - 3:59

Vivisection

LES ANITI-VIVISECTIONNISTES : TOUS DES SENTIMENTAUX, DES TERRORISTES, DES GRANOLES, DES EXTRÉMISTES, DES RADICAUX CONTRE L'AVANCEMENT DE LA SCIENCE

Ceux qui désirent l’abolition de la vivisection font partie d’un vaste mouvement regroupant des humanistes, des médecins, des scientifiques ou des philosophes. Depuis les siècles passés, nombreux furent ceux qui s’opposèrent à la vivisection : Léonard de Vinci, Voltaire, Victor Hugo, C.G. Jung, Albert Einstein, Georges Bernard Shaw, Gandhi, Annie Besant, Marguerite Yourcenar, pour n’en nommer que quelques-uns. La reine Victoria croyait que la vivisection est «une disgrâce pour l’humanité et le christianisme ». De nombreuses ligues anti-vivisectionnistes existent en Europe et en Amérique du Nord depuis plus de 100 ans.

De plus en plus de voix s’élèvent à travers le monde afin que cette pratique immorale et sans fondement scientifique cesse. Au Canada seulement, plus de 25 organismes militent pour l’abolition de la vivisection. À Genève, la Ligue Internationale Médecins pour l’Abolition de la Vivisection englobe plus de 150 membres de la communauté médicale de 14 pays et considère l’expérimentation animale comme « un crime contre la science, contre la vie humaine et animale ».

SI L'EXPÉRIMENTATION ANIMALE ÉTAIT ABOLIE, LES CONSÉQUENCES POUR LA SANTÉ HUMAINE SERAIENT DÉSASTREUSES

La santé humaine n’a rien à voir à la mise au point de porcelets transgéniques, de souris ayant des cellules humaines, de transplantations de cœur de babouin ou de clonages de singes.

Les humains doivent plutôt renforcer leur système immunitaire, se tourner vers la prévention, adopter une alimentation pauvre en protéines animales et riche en fruits et légumes. Ils doivent arrêter de produire des produits chimiques, reconnaître que tous ces produits toxiques responsables de la pollution de l’environnement ont été déclarés sûrs, sur la base des tests d’animaux : « Le fait de déclarer inoffensif un pesticide chimique, sur la seule base d’une expérimentation animale non concluante, est non seulement anti-scientifique, mais peut même s’avérer dangereux, en suscitant un sentiment de fausse sécurité chez l’utilisateur de ce produit toxique ».
(Albert Daveluy, chimiste)

Nous devons avoir recours à une médecine holistique pour une santé intégrale. L’humain n’est pas qu’un corps, l’effet placebo par exemple le prouve amplement. En fait, comme le fait remarquer Norman Cousins «le placebo est le médecin qui réside en nous ».

L’effet placebo, c’est-à-dire celui produit par une substance inerte et inoffensive substituée à un médicament pour obtenir un soulagement chez le patient, est bien réel en pharmacologie. Sur dix personnes souffrant de diarrhée, cinq seront guéries par un placebo. Un phénomène similaire pourra se vérifier dans des cas d’arthrite. Les 77,4 % d’un groupe de patients qui avaient reçu un placebo à la place d’antihistaminiques dirent avoir été pris de somnolence, effet caractéristique des antihistaminiques. Dans une autre étude, des médecins administrèrent des placebos à 133 patients souffrant de dépression qui n’avaient pas encore pris de médicament. La réaction du quart d’entre eux au placebo fut si positive qu’ils durent être exclus des essais subséquents de médicaments réels. Des placebos - des injections salines - furent administrés à des morphinomanes qui n’eurent pas de symptômes de manque jusqu’à l’arrêt des injections.

Il est absurde d’utiliser le modèle animal pour des maladies telles que les migraines, la dépression, l’obésité, l’alcoolisme ou la maladie d’Alzheimer dans lesquelles le psychisme très développé de l’être humain entre en ligne de compte dans des proportions que personne ne connaît précisément.

L’être humain n’est pas une souris, il n’est pas que son enveloppe physique. Il est connecté à ses émotions, à ses aspirations spirituelles, à son âme, à son esprit.
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MessageSujet: Re: n tests sur animaux horreur , mensonge = "aucune' cruauté!   n tests sur animaux horreur , mensonge = "aucune' cruauté! - Page 3 Icon_minitimeDim 27 Mai - 3:59

Vivisection

IL N'Y A PAS D'ALTERNATIVES À LA VIVISECTION

Un changement de conscience, une médecine holistique et non violente sont des alternatives à la vivisection. De plus, il existe des techniques plus fiables pour tester les médicaments ou les produits de consommation que la vivisection et bon nombre de scientifiques les trouvent plus concluantes que l’expérimentation animale. En 1982, les professeurs Farnswroth et Pezzuto de la Faculté de Pharmacologie de l’Université de l’Illinois ont déclaré qu’il existe suffisamment de techniques pour déterminer tout effet de médicament en toxicité. S’ajoutent les enzymes, les cultures de bactéries du test Ames, les cellules et tissus humains (obtenus à partir du placenta après l’accouchement ou d’une biopsie), les combinaisons élaborées par l’informatique ou l’analyse par ordinateur, la mise sur pied de banques de données, etc. Un chercheur de l’Université du Québec à Rimouski a récemment mis au point un logiciel « grenouille » qui réagit comme le ferait l’animal à une expérimentation.

JE NE PEUX RIEN FAIRE CONTRE LA VIVISECTION

Nous faisons tous partie de la solution. Ayez recours à une médecine non violente et globale. N’achetez que des produits testés sans cruauté sur les animaux et ne contenant que des ingrédients naturels, biodégradables, sans dérivés animaux. Joignez-vous à un organisme anti-vivisectionniste et apportez-lui votre soutien. Participez à des marches, des manifestations. Renseignez-vous sur les effets secondaires et toxiques des médicaments. Sachez que les vaccins (pour vous ou votre animal) sont potentiellement dangereux. Avant de donner votre argent ou votre temps à un téléthon ou à une association, demandez si vos dons serviront à la recherche animale. Devenez une voix pour les sans-voix, faites circuler l’information, écrivez des lettres aux médias, à vos députés, aux compagnies qui testent sur les animaux. Pratiquez la «simplicité volontaire » en n’encourageant pas la consommation effrénée de nouveaux produits. Exigez la fermeture des laboratoires qui expérimentent sur les animaux. Souvenez-vous qu’on ne réglemente pas la torture, on l’abolit !

SOURCES :
Hurlements, Marcel Duquette, Éd. Michel Quintin
Ces bêtes qu’on torture inutilement, Hans Ruesch, Éd. Pierre-Marcel Favre
Les faussaires de la Science, Hans Ruesch, Éd. Civis
Nous sommes tous des cobayes, Marc Maillet, Éd. J.A.
Why Animal Experiments Must Stop, Vernon Coleman, Ed. Green Print
Betrayal of Trust, Vernon Coleman, Ed. European Medical Journal
In Pity and in Anger, A Study of the Use of Animal in Science, John Vyvyan, Ed. Micah
Is Animal Experimentation Justified ?, Collectif, Ed. Greenhaven Press Inc.
The Myth of Vivisection, Alert (B.P. 94, Côte-des-Neiges, Montréal, H3S 1S4)
La volonté de guérir, Norman Cousins, Éd. Seuil
The Case Book of Experiments With Living Animals, The American Anti-Vivisection Society
L’anti-vivisection, No. 124, 1995, Ligue française contre la vivisection
Expressions, National Anti-Vivisection Society

ORGANISMES ANTI-VIVISECTIONNISTES :

AHIMSA, Ste-Rita, G0L 4G0, (418) 963-5333
Ligue Française Contre la Vivisection, 84 rue Blanche, 75009 Paris, France
Société Nationale pour la Défense des Animaux, B.P. 94301, Vincennes, Cedex, France
Ligue Internationale Médecins pour l’Abolition de la Vivisection, c/o Dr Vernon Coleman, Lynmouth Devon EX35 6EE
CIVIS, Via Motta 51 CH6900, Mussagno-Lugano, Suisse
CIVITAS, P.O. Box 26, Swain, N.Y. 14884, U.S.A.
American Anti-Vivisection Society, Suite 204, Noble Plaza, 80l Old York Road, Jenkintown, Pa 19046-1685, U.S.A.
National Anti-Vivisection Society, 53 West Jackson Blvd., Chicago, Illinois 60604-3795.[/url]
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Vivisection

Un site contre la vivisection :

http://www.international-campaigns.org/

ARGUMENTAIRE
contre l'expérimentation sur les animaux

Ne pas craindre d’utiliser l’argument scientifique, même si nos motivations sont d'ordre éthique.

Ou pourquoi il ne faut pas se laisser impressionner par la science.

Traduction du début d’un texte paru dans le numéro 137 du magazine Outrage de l’association britannique Animal Aid.

Guère étonnant que des sujets tels que l’expérimentation animale fassent l’objet de débats aussi âpres. En effet, n’importe quelle pratique justifiant que l’on aveugle, empoisonne ou ébouillante de manière délibérée des créatures vivantes ou qu’on leur provoque sciemment des maladies douloureuses déclenchera inévitablement une vive répulsion chez les personnes faisant preuve de compassion et d’attention envers le monde du vivant. Mais les arguments contre l’expérimentation sur les animaux ne concernent pas que la cruauté. De solides objections scientifiques doivent aussi être formulées à son encontre. Cet aspect est particulièrement important car ceux qui défendent ces pratiques tentent toujours de justifier ce qu’ils font en prétextant qu’il s’agit d’un choix entre épargner des animaux dans les laboratoires ou sauver des enfants de maladies et de la mort.

Le problème est que, pour les personnes éventuellement amenées à prendre la parole en public, l’argumentaire scientifique peut paraître intimidant et complexe, nécessitant des connaissances spécifiques et une formation scientifique. En fait, il n’y a réellement rien à craindre. C’est une simple question de bon sens. Il y a deux principes fondamentaux que tout le monde peut utiliser lors d’un débat ou d’un discours en public. Le premier principe est que les animaux sont biologiquement très différents des humains. Le second est que les animaux de laboratoire sont en bonne santé au début des expériences et qu’ils doivent être rendus malades de façon artificielle. Ce qui n’est pas le cas pour les humains, dont l’état de santé est généralement lié à de nombreuses années d’une mauvaise hygiène de vie et à une dégénérescence.
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MessageSujet: Re: n tests sur animaux horreur , mensonge = "aucune' cruauté!   n tests sur animaux horreur , mensonge = "aucune' cruauté! - Page 3 Icon_minitimeDim 27 Mai - 4:03

L’expérimentation sur les animaux n’est-elle pas indispensable au progrès de la médecine ? »

Les historiens spécialisés en médecine ont clairement établi que la médecine n’a eu qu’une influence mineure sur l’allongement de l’espérance de vie et que la baisse de la mortalité liée aux principales maladies infectieuses qui a été constatée depuis 1900 tient essentiellement, outre à des facteurs de comportement et d’environnement, à l’amélioration de l’alimentation et de l’hygiène, et non pas à l’expérimentation sur les animaux. La plupart des grands progrès en matière de santé ont été obtenus grâce à des études réalisées sur des humains qui ont abouti à des progrès aussi considérables que l’anesthésie, le stéthoscope, la morphine, le radium, la pénicilline, la respiration contrôlée, la radiographie, les antiseptiques, les examens de type tacographie, IRM et tomographie par émission de positons, mais aussi la bactériologie et la théorie des germes, la découverte du rapport entre cholestérol et maladies cardiovasculaires ainsi qu’entre tabagisme et cancer ou encore l’isolement du VIH. Les expériences sur les animaux ne sont pour rien dans ces découvertes, pas plus que dans de nombreuses autres.

Expérimentation sur les animaux et alternatives : StopAnimalTests.com


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  « Des traitements aussi importants que le vaccin contre la polio par exemple n’ont-ils pas été mis au point grâce à l’expérimentation sur les animaux ? »



Les recherches sur la polio ont suivi une double orientation : d’une part, des travaux in vitro, sans utilisation du modèle animal, qui ont été récompensés par un Prix Nobel et, d’autre part, des travaux s’appuyant sur l’expérimentation qui ont sacrifié légion d’animaux. Arthur Kornberg, Prix Nobel de Médecine en 1959, a souligné que 40 ans d’expériences sur des singes infectés par la polio n’avaient que « très peu » contribué à la mise au point d’un traitement. Ce n’est que lorsque les chercheurs ont su cultiver le virus à partir de cellules humaines et de cellules de primates qu’un véritable progrès a été enregistré.

Le fait que certains progrès de la médecine soient associés à de cruelles expériences sur les animaux ne signifie ni que d’autres méthodes n’auraient pas abouti aux mêmes résultats, ni que les techniques primaires du 19ème siècle restent valables aujourd’hui. Nul ne peut savoir où nous en serions aujourd’hui si nous avions refusé l’expérimentation sur les animaux, car très peu de ressources ont été consacrées aux méthodes alternatives dans l’histoire de la médecine. Sachant néanmoins que les résultats obtenus sur les animaux ne sont généralement pas transposables à l’homme, il est probable que la situation sanitaire serait meilleure si nous ne nous étions pas entêtés à pratiquer depuis si longtemps des expériences sur les animaux.  

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  « N’est-il pas du devoir des chercheurs d’utiliser des animaux afin de trouver des traitements pour les maladies humaines ? »



Toutes les expériences du monde sur les animaux ne pourront jamais contribuer à épargner autant de souffrances et de vies humaines que la sensibilisation des populations aux problèmes des graisses et du cholestérol, aux dangers du tabagisme, de l’alcoolisme et de la toxicomanie, aux bienfaits de la pratique régulière d’une activité physique et au respect de l’environnement. Les expériences sur les animaux sont des méthodes d’un autre âge. Les technologies modernes et les essais cliniques sur l’homme sont aujourd’hui à la fois beaucoup plus efficaces et plus fiables.

L’existence des alternatives est incontestable. Mais même s’il n’en existait pas, l’expérimentation animale resterait inacceptable d’un point de vue éthique. Comme l’a déclaré George Bernard Shaw : « Comment peut-on justifier une expérience en affirmant simplement qu’elle est utile ? La question ne se pose pas en termes d’utilité ou d’inutilité, mais plutôt en termes de comportement barbare ou civilisé. » Des expériences sur des êtres humains non consentants auraient beau être utiles pour réussir à soigner certaines maladies, personne pourtant ne les encouragerait car elles seraient jugées inacceptables.
 

Vidéo filmée dans un laboratoire de primatologie du Maryland (États-Unis)


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  « À défaut de pouvoir utiliser les animaux, les nouveaux médicaments devraient-ils être testés sur l’homme ? »



Il ne s’agit pas de choisir entre les animaux et les hommes. La sécurité des médicaments n’est jamais garantie, même s’ils ont été testés sur les animaux. L’extrapolation précise des résultats obtenus sur l’animal est impossible, du fait des différences physiologiques notoires qui existent entre l’homme et l’animal. Il ne manque pas d’exemples de médicaments qui, validés à la suite de tests sur les animaux, ont eu chez l’homme des effets secondaires graves et inattendus. Il ressort d’un rapport publié en 2002 dans le Journal of the American Medical Association que plus de 50 médicaments autorisés par la FDA ont été retirés du marché ces 25 dernières années ou commercialisés sous un autre nom après avoir provoqué des « réactions indésirables » En 2000 par exemple, le cisapride (Propulsid®), prescrit contre les brûlures d’estomac, a été retiré du marché américain en raison d’« anomalies du rythme cardiaque ayant entraîné la mort » ; la commercialisation de la troglitazone (Rezulin®), utilisée contre le diabète, a été interrompue suite à des observations d’insuffisance hépatique ; l’alosétron (Lotronex®), recommandé contre le syndrome du côlon irritable, a été retiré du marché après la survenue de cas de colites ischémiques, de constipation sévère conduisant notamment à des interventions chirurgicales et de décès. L’étude révèle que « Chaque année, des millions de patients sont exposés à des médicaments potentiellement dangereux ».

Si au lieu de s’adonner à l’expérimentation animale l’industrie pharmaceutique privilégiait la pharmacologie quantique et les tests in vitro, nous serions nettement mieux protégés, et non pas moins, contre les médicaments dangereux.  

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  « L’expérimentation sur les animaux n’est-elle pas une étape indispensable de la recherche médicale ? »



Les études cliniques et épidémiologiques réalisées sur des groupes de patients, les études sur les cadavres et les simulations sur ordinateur sont plus rapides, plus fiables, plus humaines et moins chères que les tests sur les animaux. Des chercheurs ingénieux sont parvenus à élaborer, à partir de cellules cérébrales humaines, un modèle de « microcerveau » qui permet d’étudier les tumeurs, mais aussi à créer de la peau artificielle et de la moelle osseuse. Au lieu de tuer des animaux, nous pouvons désormais faire des tests d’irritation sur des membranes d’œuf et utiliser des cultures de cellules pour produire des vaccins ou des échantillons sanguins pour les tests de grossesse. Cofondateur de Pharmagene Laboratories, une société qui met au point et teste des médicaments en s’appuyant uniquement sur des tissus humains et sur l’informatique, Gordon Baxter pose une simple question : « Dès lors que l’on dispose d’informations sur les gènes de l’homme, quel est l’intérêt de revenir au modèle animal ? »
 

La réalité d’un laboratoire de recherche


Haut de la page

  « N’est-il pas vrai que l’expérimentation animale, en faisant progresser la médecine vétérinaire, aide aussi les animaux ? »



Son utilité éventuelle, qu’elle soit pour l’homme ou pour l’animal, n’est pas un argument suffisant pour justifier l’expérimentation animale. Le cœur du problème est que nous n’avons moralement aucun droit de faire souffrir gratuitement des êtres sans défense.
Dire qu’il est acceptable de faire des expériences sur les animaux pour faire avancer la médecine vétérinaire est du même ordre d’idée que de dire qu’il est acceptable de faire des expériences sur les enfants pauvres pour soigner les riches.  

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  « La dissection d’animaux n’est-elle pas obligatoire pour les étudiants en médecine ? »



Absolument pas. De plus en plus d’étudiants en médecine s’insurgent contre ces pratiques et choisissent d’apprendre leur métier, non pas sur les animaux, mais au contact de praticiens chevronnés. En Grande-Bretagne, où il est illégal d’utiliser des animaux dans le cadre des études médicales, les médecins ne sont pas moins compétents qu’ailleurs. Harvard, Yale, Stanford et bien d’autres grandes écoles de médecine aux États-Unis ont fermé leurs laboratoires d’expérimentation animale et mis en place un enseignement clinique novateur. À Harvard, par exemple, les étudiants du cours pratique d’anesthésie cardiaque ne font plus d’opérations fatales sur des chiens, mais observent désormais les opérations de pontage sur cœur humain. Les enseignants qui sont à l’origine de ce cours aimeraient que d’autres écoles s’en inspirent.  

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  « Que faire des médicaments testés sur les animaux ? Doit-on refuser de les prendre ? »



C’est malheureusement à travers l’exploitation d’autrui que tant de choses ont été obtenues dans notre société. Ainsi, la plupart des routes aux États-Unis ont été construites par des esclaves. Il est impossible de revenir en arrière. Nous ne pouvons plus rien faire pour tous ces gens qui ont souffert et qui sont morts aujourd’hui. Par contre, nous pouvons changer l’avenir en adoptant définitivement des méthodes de recherche qui ne reposent pas sur le modèle animal.  

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  « La cruauté envers les animaux n’est-elle pas punie par la loi ? »



Aux États-Unis, aucune expérience, même si elle est inutile ou douloureuse, n’est directement interdite. La loi américaine sur la protection des animaux (Animal Welfare Act), qui n’a quasiment aucune portée, est de toute façon mal appliquée. De plus, elle ne prévoit rien pour les rats, les souris (qui sont les plus grandes victimes de l’expérimentation animale), les animaux à sang froid, les oiseaux ni les animaux dits de consommation. Cette loi est foncièrement hypocrite car elle n’interdit aucune expérience sur les animaux qu’elle est censée protéger et qui peuvent être affamés, électrocutés, conduits à la folie ou brûlés au chalumeau en toute impunité, tant que cela se passe dans l’enceinte d’un laboratoire bien propre.

En France, les textes censés protéger les animaux utilisés à des fins expérimentales sont le Décret n° 87-848 du 19 octobre 1987 et le Décret n° 2001-464 du 29 mai 2001 modifiant le Décret n° 87-848 du 19 octobre 1987. Au niveau européen, le texte de référence, sur lequel s’appuie la réglementation française, est la Directive 86/609 du Conseil du 24 novembre 1986. Ces textes sont disponibles sur Internet. Nous vous invitons à les lire attentivement.
 

Dans un laboratoire de primatologie de l’université de Columbia (États-Unis)


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« Les chercheurs ne sont-ils pas soucieux de bien traiter les animaux qu’ils utilisent pour leurs expériences afin d’obtenir des résultats de qualité ? »


Le fait est qu’il n’en est rien, même dans les établissements les plus prestigieux. La City of Hope en Californie a beau être l’un des établissements de recherche les plus célèbres des États-Unis, des animaux y sont morts de faim et se sont noyés dans leurs excréments. La plupart des chercheurs s’endurcissent au bout de quelques années et deviennent totalement insensibles aux souffrances des animaux qu’ils considèrent et traitent comme du matériel de laboratoire jetable. À leurs yeux, le bien-être des animaux n’est pas une priorité et coûterait de toute manière bien trop cher.
 

Entrez dans les laboratoires de l’Université de Caroline du Nord


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  « Le rôle des comités de contrôle professionnels et de protection des animaux n’est-il pas justement d’éviter la cruauté dans les établissements de recherche ? »



En réalité ces comités sont principalement, pour ne pas dire entièrement, constitués de membres qui ont de gros intérêts à ce que l’expérimentation sur les animaux perdure. C’est à force de batailles juridiques que des membres du public ont pu suivre les réunions de ces comités.

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  « Des milliers de chats et de chiens sont euthanasiés dans les fourrières. Pourquoi ne pas les utiliser pour des expériences qui permettraient de sauver des vies ? »



Une mort indolore dans un refuge est loin d’être comparable à une vie de souffrances intenses et de privations continuelles dans un laboratoire où les seules perspectives sont l’agonie et la mort.
 

Expériences sur la surdité réalisées sur des chats et des chatons


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  « Seriez-vous pour ou contre le sacrifice de 10 animaux pour sauver 10000 personnes ? »



Nous serions contre. Prenons le problème autrement : supposons qu’une expérience sur un orphelin handicapé mental soit le seul moyen de sauver ces 10000 personnes. Pourquoi ne pas essayer, puisqu’il s’agit de sauver des vies humaines ? Même en invoquant l’intérêt supérieur de l’humanité, la plupart des gens estimeront que le sacrifice d’un être humain est injuste car il y a violation de ses droits. En revanche, ce qui est reconnu à l’homme ne l’est pas aux animaux, surtout en matière de droits. Il n’y a pourtant aucune raison logique de refuser aux animaux les droits qui empêchent de sacrifier des êtres humains sur l’autel de l’intérêt général.

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  « Que pensez-vous des expériences qui consistent à observer les animaux sans leur faire de mal ? »



Si absolument aucun mal ne leur est fait, nous n’avons pas d’objection particulière. Encore faut-il s’entendre sur le sens de « aucun mal » On a pu mesurer des tensions artérielles très différentes suivant que les animaux sont libres ou en captivité. Il est indéniable que ceux qui sont maintenus derrière les barreaux en acier d’une cage individuelle connaissent le stress et la peur, mais aussi qu’ils souffrent de ne pas pouvoir exercer leur comportement naturel et d’être privés de tout contact avec leurs semblables.
 

Dans un laboratoire où sont testés les aliments Iams pour animaux domestiques


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« En cas d’incendie, qui de votre enfant ou de votre chien sauveriez-vous si vous deviez choisir ? »


Mon instinct me pousserait à sauver mon enfant, comme le ferait n’importe quel animal. Pour autant, mon choix n’apporte aucune justification morale à l’expérimentation animale. Ce n’est pas parce que je sauverais plutôt mon enfant que celui du voisin qu’il serait acceptable d’utiliser l’enfant du voisin pour faire des expériences;


Dernière édition par végétalienne-13 le Ven 16 Aoû - 12:47, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: n tests sur animaux horreur , mensonge = "aucune' cruauté!   n tests sur animaux horreur , mensonge = "aucune' cruauté! - Page 3 Icon_minitimeDim 27 Mai - 4:04

Vivisection :

http://www.international-campaigns.org/pdf/Anl%20Exp_Point%20Counterpoint_FR.pdf

http://www.eceae.org/francais/faq.html#1


Dernière édition par le Dim 27 Mai - 4:05, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: n tests sur animaux horreur , mensonge = "aucune' cruauté!   n tests sur animaux horreur , mensonge = "aucune' cruauté! - Page 3 Icon_minitimeDim 27 Mai - 4:05

Questions réponses (FAQ)
Qu'est-ce que la vivisection?
Vivisection signifie littéralement 'découpage' d'animaux vivants, mais ce terme est aujourd'hui utilisé dans un sens plus général pour désigner toutes les expérimentations sur des animaux vivants (in vivo) y compris celles qui, comme les tests de toxicité, ne mettent pas en jeu des procédures chirurgicales. Les techniques de recherche n'utilisant pas d'animaux (in vitro) consistent par exemple à recourir à des cultures de cellules, à des modélisations sur ordinateur ou à d'autres systèmes artificiels.
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Quelle est la quantité d'animaux utilisés?
On estime que chaque année, plus de 100 millions d'animaux souffrent dans des expérimentations en laboratoire dans le monde entier, dont pas moins de 10 à 11 millions d'animaux au sein de l'Union Européenne. Toutefois, dans la mesure où la plupart des pays concernés ne produisent que des statistiques incomplètes, il est impossible d'en connaître le nombre exact. Les animaux élevés pour la recherche mais tués par la suite en tant que 'surplus' ne sont pas comptés dans les statistiques. Si ces animaux étaient pris en compte dans les statistiques annuelles, le vrai chiffre, pour le nombre total d'animaux utilisés dans la recherche dans le monde, serait certainement réévalué de plusieurs millions. Le Royaume-Uni est en Europe le pays qui utilise le plus d'animaux dans la recherche (2,6 millions d'animaux utilisés dans 2,7 millions d'expérimentations au Royaume-Uni en 2003; 2,1 millions d'animaux utilisés en Allemagne), suivi par la France, la Belgique et l'Allemagne.
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Nous avons besoin de vous pour mettre fin à l'expérimentation animale.


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Quelles espèces utilise-t-on dans les expérimentations?
La vivisection, dans le monde, se pratique sur un vaste ensemble d'espèces animales. Dans les expériences en laboratoire, on utilise une forte proportion de rats et de souris, pour la raison essentielle que ces animaux sont faciles à manipuler et peu coûteux à maintenir en captivité du fait de leur petite taille. Dans un laboratoire, ils occupent moins d'espace que les animaux de plus grande taille, et ils peuvent produire entre 50 et 100 nouveau-nés par an. Pour les tests oculaires et cutanés, on utilise communément des lapins albinos, parce qu'ils sont faciles à manipuler et parce que leur capacité de rejeter les substances de leurs yeux par le flux lacrymal, au cours des expérimentations, est très limitée. On utilise aussi communément les cochons d'Inde pour les tests cutanés et les tests en batterie de substances telles que les vaccins. Les chiens et les primates sont couramment utilisés dans les tests de toxicité, dans la recherche sur le cerveau, dans la recherche dentaire et dans les expérimentations en chirurgie. Le chien de laboratoire le plus communément élevé est le beagle, que l'on a choisi principalement pour sa nature placide et pour sa taille, qui le rend facile à manipuler lors des procédures de test. On continue d'utiliser des primates par milliers : babouins, macaques, ouistitis et chimpanzés. D'autres animaux sont communément utilisés dans la recherche: chats, oiseaux, poissons, porcs, chevaux, moutons et hamsters, mais aussi un grand nombre d'autres espèces.
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Quelle sorte d'expérimentations pratique-t-on sur les animaux?
On utilise les animaux dans différentes sortes d'expérimentations: toutes les expérimentations sont sources de douleur et de souffrances. Soit les animaux utilisés mourront par suite de l'expérience, soit ils seront délibérément tués à l'issue de l'expérimentation, souvent à des fins d'analyse post mortem. En laboratoire, un animal peut être empoisonné, privé de nourriture, d'eau ou de sommeil. On peut lui appliquer des produits irritants pour la peau ou pour les yeux, le soumettre à un stress psychologique, le contaminer délibérément avec une maladie infectieuse, provoquer des dégâts dans son cerveau, le paralyser, le mutiler au moyen de la chirurgie, l'irradier, le brûler, le gazer, le nourrir de force ou l'électrocuter. Un peu partout dans le monde, les chercheurs se servent des animaux pour tester ou pour développer pratiquement tout, depuis les produits ménagers, les produits cosmétiques et les additifs alimentaires jusqu'aux médicaments, en passant par les produits chimiques industriels, les pesticides, les aliments pour animaux, les appareils médicaux, l'alcool et le tabac. Dans des expérimentations à des fins militaires, des animaux sont soumis aux effets des gaz toxiques et de la décompression, exposés aux blessures du souffle des explosions, aux brûlures et aux radiations, dans le but de tester 'sur le terrain' des armes nouvelles ou déjà existantes ainsi que des techniques chirurgicales. On utilise les animaux même pour des recherches 'motivées par la curiosité'. En fait, presque tous les produits utilisés et consommés chaque jour par les humains, partout dans le monde, auront été à un moment ou à un autre testés sur des animaux.
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Dans le monde entier, des millions d'animaux sont tués chaque année pour la vivisection.



D'où proviennent les animaux des laboratoires?
Bien que certains établissements de recherche aient leurs propres élevages, la plus grande partie des animaux utilisés dans la recherche sont 'spécialement élevés' par des entreprises spécialisées dans la fourniture d'animaux pour la vivisection. L'industrie de la recherche tente souvent de justifier la manière dont elle traite les animaux en faisant valoir qu'ils sont 'spécialement élevés' pour l'expérimentation, comme si cela les rendait différents des autres animaux. Les catalogues des éleveurs parlent des animaux proposés à la vente comme de 'produits', en insistant sur la rapidité de la livraison et sur la facilité de traitement des commandes, comme si ces animaux qui vivent et qui respirent n'étaient rien d'autre que des articles d'équipement de laboratoire. La vérité, bien sûr, est qu'un animal de laboratoire a exactement les mêmes capacités de souffrance physique et psychologique qu'un animal de compagnie.
Un grand nombre de primates utilisés pour la vivisection dans le monde, comme les macaques et les babouins, sont capturés dans la nature ou élevés en captivité dans de terribles conditions, dans des pays comme l'Ile Maurice, la Barbade, l'Indonésie, les Philippines, la Tanzanie ou la Chine. Ils sont ensuite transportés sur des milliers de kilomètres pour être vendus à des laboratoires en Europe, aux Etats-Unis et dans le reste du monde. Les conditions de stress que peuvent subir ces primates au cours de leurs longs voyages sont si terribles qu'un certain nombre d'entre eux ne parviennent pas vivants à leur destination.
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L'expérimentation animale est-elle cruelle?
Selon la Coalition européenne, le fait d'infliger délibérément aux animaux des traumatismes physiques et émotionnels dans les expérimentations en laboratoire est une chose cruelle, et donc moralement injustifiable. Tous les animaux sont susceptibles de ressentir la douleur physique, et ils peuvent aussi connaître la peur, l'ennui, la dépression et la détresse psychologique.
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Les expérimentations sur les animaux ne nous sont-elles pas nécessaires pour nous assurer de l'innocuité des médicaments pour les humains?
Les expérimentations sur les animaux peuvent nous renseigner sur les animaux, pas sur les humains. Jamais les résultats des études menées sur les animaux ne peuvent garantir l'innocuité ni l'efficacité des médicaments ou d'autres produits chez l'humain, en raison des différences fondamentales, du point de vue biologique, anatomique et biochimique, qui existent entre les espèces. Des espèces différentes peuvent présenter des réactions complètement contradictoires à diverses substances. Tant qu'une substance n'a pas fait l'objet d'études cliniques chez l'être humain, nous ne pouvons jamais savoir réellement si son utilisation est sans danger. Ainsi, par exemple, entre les humains et d'autres animaux, les réactions aux effets de certains médicaments peuvent être très différentes. L'aspirine est un antalgique efficace et relativement anodin pour les humains, mais elle peut être mortelle pour les chats; la pénicilline est un antibiotique d'utilisation répandue chez les humains, pourtant elle peut tuer les cochons d'Inde; l'arsenic est très dangereux pour les humains, mais ne présente pas du tout le même degré de danger pour les rats, les souris et les moutons; l'insuline, un médicament utilisé en toute sécurité par les diabétiques, peut provoquer de terribles difformités chez les souris, les lapins et les poules. La longue liste des médicaments testés sur les animaux et qui ont été retirés de la vente, ou dont l'utilisation s'est restreinte par suite d'effets secondaires imprévus chez des patients humains, illustre bien le danger qu'il y a à compter sur des études menées sur les animaux.
D'après une étude publiée en avril 2000 par le comité de surveillance Public Citizen, aux Etats-Unis, environ 100.000 américains meurent chaque année des effets iatrogènes des médicaments. Par ailleurs, un rapport d'une commission d'audit, publié en 2002 et intitulé 'A spoonful of sugar' (une cuillérée de sucre), révèle que le nombre de décès attribuables aux effets iatrogènes des médicaments, chez les humains, s'est trouvé multiplié par plus de cinq au Royaume-Uni au cours des dix dernières années, pour atteindre plus de 1.100 cas en 2000. Selon une étude scientifique publiée en 2001, 16.000 personnes meurent chaque année en Allemagne des effets iatrogènes des médicaments (Réf. : P. Schoenhoefer et al : DGPT-Forum 2001, 28, 15-19). Nous souhaitons tous assister à un réel progrès dans le traitement des maladies humaines douloureuses et invalidantes, mais nous pensons que ce progrès est conditionné par le développement et l'utilisation de techniques de recherche modernes et biologiquement fondées, qui ne font pas appel aux animaux.
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Les expérimentations sur l'animal ne sont-elles pas exigées par la loi?
Il est aujourd'hui très rare que les expérimentations sur l'animal constituent une exigence légale. Il existe quelques cas dans lesquels la loi stipule effectivement que des expérimentations doivent être faites sur des animaux, mais le plus souvent, pour qu'un produit puisse être commercialisé, la loi exige simplement qu'une société soumette une certaine quantité de statistiques de tests, sans imposer la méthode selon laquelle ces données devront être obtenues. Cependant, parce que depuis tant d'années, les tests sont réalisés sur les animaux, et parce que les autorités réglementaires qui exigent les statistiques des tests sont davantage prédisposées à accepter les résultats d'études menées sur des animaux que des résultats de tests pratiqués selon des techniques substitutives, c'est tout le système du développement des produits, de la réglementation et de la commercialisation, qui est devenu inextricablement lié à l'expérimentation animale. Un changement s'impose donc à la fois dans les lois, dans les directives des tests et dans l'attitude des autorités réglementaires, si l'on souhaite sortir du système de l'expérimentation animale pour adopter des méthodes de test plus modernes et sans utilisation d'animaux.
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MessageSujet: Re: n tests sur animaux horreur , mensonge = "aucune' cruauté!   n tests sur animaux horreur , mensonge = "aucune' cruauté! - Page 3 Icon_minitimeDim 27 Mai - 4:07

Vivisection

Commentaires de Pro Anima suite à la diffusion de FAQ d’Aventis Pharma Belgique et Luxembourg

Les FAQ d’Aventis commencent ainsi :

Expérimentation animale : Questions-Réponses
(www.aventispharma.be)

Voici une liste des questions les plus fréquemment posées sur le comment et le pourquoi des essais biomédicaux dont les animaux font parfois l’objet. Ces essais ne représentent pas uniquement une obligation légale, ils sont également indispensables dans le cadre du développement de médicaments sûrs pour l’Homme et l’animal.
Pourquoi doit-on utiliser des animaux pour la recherche biologique et médicale ? [Réponse de Pro Anima]



Pour 4 raisons fondamentales :

L’utilisation des animaux reste incontournable. En effet, les méthodes alternatives telles que les cultures de cellules et les modèles mathématiques ne fournissent qu’une réponse limitée et ne peuvent en aucun cas remplacer un être vivant qui est beaucoup plus complexe.

Aucun scientifique digne de ce nom n’oserait prendre le risque de procéder à une expérimentation directe sur l’Homme sans disposer au préalable d’informations obtenues chez l’animal. Par exemple, aucun vaccin contre le sida ne sera utilisé chez l’Homme sans avoir été au préalable étudié chez l’animal.

L’utilisation des animaux a été dans le passé à la base de très nombreuses découvertes (c’est en utilisant le chien que Pasteur a découvert le vaccin contre la rage). De nos jours, elle reste essentielle pour assurer les progrès qui restent à faire dans la compréhension des maladies et le traitement efficace des malades.

L’utilisation des animaux a été et restera indispensable pour assurer les progrès nécessaires aux traitements des animaux de compagnie et d’élevage.

Source : "Expérimentation animale", AGIM.


Réponse de Pro Anima :

"L’utilisation des animaux reste incontournable." : Cette phrase, très couramment prononcée par les chercheurs qui utilisent les animaux n’est qu’une affirmation. Elle représente donc une opinion et non une preuve. On a le droit d’avoir une opinion contraire, surtout si on peut l’étayer sur des preuves, comme on le verra plus loin.

"Les méthodes alternatives ne fournissent qu’une réponse limitée et ne peuvent en aucun cas remplacer un être vivant qui est beaucoup plus complexe." Il faudrait déjà s’entendre sur ce qu’on appelle "limitée". Toute expérience fournit forcément une réponse limitée. Il se trouve, pourtant, que l’étude d’une substance chimique sur des cellules en culture fournit des réponses très précises sur l’effet de cette substance, sur les mécanismes mis en jeu pour l’assimiler, la transformer, l’éliminer. Les tests de toxicologie sur animaux ne peuvent prétendre à un tel degré de précision.

Un être vivant est beaucoup plus complexe, certes ! Raison de plus pour prendre avec une grande précaution les résultats obtenus sur un animal, système très complexe, en vue de les appliquer à l’humain, système tout aussi complexe ET différent. Pour appliquer à l’homme des résultats obtenus sur un animal, il faudrait d’abord avoir fait la preuve que l’homme et cet animal ont une physiologie identique. Sur quoi se fondent les chercheurs qui expérimentent sur l’animal et déclarent que le résultat est valable pour l’humain ?
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MessageSujet: Re: n tests sur animaux horreur , mensonge = "aucune' cruauté!   n tests sur animaux horreur , mensonge = "aucune' cruauté! - Page 3 Icon_minitimeDim 27 Mai - 4:08

Vivisection

Il serait intéressant qu’ils répondent à cette question car, au contraire, il est possible de démontrer qu’aucune espèce animale ne peut être le modèle biologique d’une autre. Cette démonstration repose sur un raisonnement qu’aucun scientifique compétent ne saurait contredire : une espèce animale étant définie par son isolement reproductif dû son patrimoine génétique unique, le nombre et la structure de ses chromosomes, de ses gènes, du contrôle et de la régulation de leur expression diffèrent de ceux des autres espèces, donc ses protéines diffèrent aussi, donc ses fonctions biologiques diffèrent aussi.

Constater que tel médicament a eu le même effet sur un humain et sur tel animal ne peut se faire qu’après observation des deux résultats. La première expérience ne permettant pas de prédire le résultat de la seconde. De plus, même si le résultat immédiat paraît semblable chez les deux espèces, il peut devenir différent, voire opposé à long terme (maladies chroniques, cancer, démences…).

"L’utilisation des animaux a été dans le passé à la base de très nombreuses découvertes." Peut-être. Cela ne prouve pas que l’utilisation des animaux était nécessaire à ces découvertes, qui auraient peut-être pu être réalisées autrement. De plus, nous ne sommes plus dans le passé, la biologie a fait quelques progrès qu’il ne serait pas très scientifique d’ignorer…

"De nos jours, elle reste essentielle pour assurer les progrès qui restent à faire dans la compréhension des maladies et le traitement efficace des malades." Ceci, encore une fois, n’est qu’une affirmation. Nous demandons à ceux qui la formulent de prouver en quoi l’expérimentation animale reste essentielle. Nous pourrions les soupçonner d’ignorer les progrès des trente dernières années, les techniques de pointe qui existent dans tous les domaines et, en comparaison desquelles l’expérimentation animale est comme le silex comparé au bistouri électrique.

"L’utilisation des animaux a été et restera indispensable pour assurer les progrès nécessaires aux traitements des animaux de compagnie et d’élevage." Mais si, l’auteur est capable de logique ! A condition, bien sûr, d’appliquer à chaque espèce animale les études faites sur leurs congénères et de ne pas vouloir donner à un chien un remède de cheval...



Quels sont les progrès majeurs de la médecine humaine et vétérinaire qui ont pu être obtenus grâce à l’expérimentation animale ? [Réponse de Pro Anima]



Il existe une liste impressionnante d’exemple de progrès en médecine humaine et vétérinaire, accomplis grâce à l’expérimentation animale.

On peut principalement citer :

- la mise au point de nombreux vaccins (rage, poliomyélite, diphtérie, rubéole, variole, oreillons, rougeole, hépatites A et B) ;

- la maîtrise de techniques chirurgicales réparatrices (chirurgie à cœur ouvert, …) ou des greffes d’organes (reins, cœur, foie, pancréas,…) ;

- la découverte du rôle de l’insuline dans le diabète, du rôle du cholestérol dans les maladies cardio-vasculaires ;

- le développement de nombreux médicaments ;

- la mise en évidence de la responsabilité de l’amiante dans l’apparition des cancers ;

- le traitement de nombreuses formes de cancers, des leucémies, de la maladie de Hodgkin,…
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MessageSujet: Re: n tests sur animaux horreur , mensonge = "aucune' cruauté!   n tests sur animaux horreur , mensonge = "aucune' cruauté! - Page 3 Icon_minitimeDim 27 Mai - 4:09

Vivisection

Tous ces progrès majeurs de la médecine et de la biologie ont contribué à réduire la mortalité infantile et à doubler en moins d’un siècle notre espérance de vie.

Source : "Expérimentation animale", AGIM.


Réponse de Pro Anima :

"impressionnante" : on est obligé de croire sur parole, puisque les progrès cités ne sont que six. On peut aussi être impressionné par les 20 000 décès par an du fait d’effets secondaires de médicaments pourtant longuement testés sur des animaux.

"progrès en médecine humaine" : encore faudrait-il vérifier qu’il s’agit bien de progrès. Les vaccins, par exemple, puisqu’ils sont cités en premier, ont entraîné de nombreux effets secondaires (scléroses en plaque, autisme sont fortement soupçonnés d’être provoqués par des vaccinations inopportunes) et leur utilisation est très controversée. De plus, certains (polio) continuent à être produits sur des animaux, malgré les effets secondaires (cancers dus à des contaminations par SV40, un virus oncogène du singe) et alors qu’il existe d’autres techniques pour les fabriquer.

En ce qui concerne la chirurgie, certains chirurgiens disent que, au contraire, le fait d’avoir appris à opérer des animaux n’a fait que compliquer l’apprentissage des techniques chirurgicales sur l’homme. D’après le Dr Ray Greek, médecin anesthésiste aux Etats-Unis (et consultant pour divers sites Internet), 85 des 126 écoles de médecine de ce pays ont abandonné l’utilisation d’animaux. Il n’existerait plus que 2 écoles de médecine à ne pas proposer un enseignement sans animaux. Les premiers patients du Professeur Barnard ayant reçu une transplantation cardiaque n’ont guère eu le temps de le remercier… Les progrès sont venus des immunosuppresseurs, qui ne doivent rien aux modèles animaux.

Les effets secondaires des médicaments produits de nos jours, tous testés sur les animaux, sont la quatrième cause de mortalité dans les pays occidentaux : 20 000 morts (1,3 million d’hospitalisations, une sacrée facture pour la sécurité sociale !) en France tous les ans (chiffres donnés par le Ministre de la santé en personne, M. Bernard Kouchner, cité dans Le Monde du 13 novembre 1997). Anciennement, les médecins connaissaient les propriétés thérapeutiques de nombreuses plantes, un savoir acquis sans le recours à l’expérimentation animale et qui était loin d’entraîner les hécatombes actuelles.

Le rôle de l’amiante, comme celui du tabac, dans l’apparition de cancers pouvait entièrement être déduit d’études épidémiologiques. L’utilisation d’animaux n’a fait que retarder la mise en place de mesures visant à interdire ou limiter l’usage de ces produits.

"Tous ces progrès majeurs de la médecine et de la biologie ont contribué à réduire la mortalité infantile et à doubler en moins d’un siècle notre espérance de vie." La mortalité infantile décroît partout où l’on améliore les conditions de vie et d’hygiène. Ce phénomène n’a rien à voir avec l’expérimentation animale.
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MessageSujet: Re: n tests sur animaux horreur , mensonge = "aucune' cruauté!   n tests sur animaux horreur , mensonge = "aucune' cruauté! - Page 3 Icon_minitimeDim 27 Mai - 4:10

Vivisection

Quels types d’animaux utilise-t-on pour la recherche biologique et médicale ? [Réponse de Pro Anima]

Les souris, les rats et autres rongeurs représentent plus de 90% du nombre total des animaux impliqués dans les études de recherche biologique et médicale. Les chats, les chiens et les singes constituent moins de 1% de ce total, le reste étant constitué pour l’essentiel par les oiseaux, les poissons,…

Ces animaux proviennent d’élevages spécialisés, officiellement déclarés au ministre de l’Agriculture et agrées par lui. Ces centres d’élevage sont contrôlés par les agents de l’Inspection générale des services vétérinaires de son ministère.

Source : "Expérimentation animale", AGIM.

Réponse de Pro Anima :

"Les chats, les chiens et les singes constituent moins de 1% de ce total" : Sur plus de 3 millions d’animaux utilisés par an en France (Le Quotidien du médecin, 2 octobre 2003, p16), 1% représente quand même plus de 30 000 animaux.

90% des animaux sacrifiés sont donc assez éloignés de nous, puisque chacun conviendra que les souris, rats et autres rongeurs ne sont pas les animaux dont la physiologie est la plus proche de la nôtre. Quand on sait que même des expériences faites sur le chimpanzé donnent un résultat différent de la réponse humaine, on peut s’interroger sur l’intérêt de sacrifier des millions de rongeurs.
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MessageSujet: Re: n tests sur animaux horreur , mensonge = "aucune' cruauté!   n tests sur animaux horreur , mensonge = "aucune' cruauté! - Page 3 Icon_minitimeDim 27 Mai - 4:11

Vivisection

"Ces animaux proviennent d’élevages spécialisés, officiellement déclarés au ministre de l’Agriculture et agrées par lui." : D’après le Quid 2002, p214, les animaux sont "fournis par 1000 voleurs et 300 élevages officiels et "fournisseurs occasionnels"". Le Quotidien du médecin du 2 octobre 2003 fait allusion aux "quelques rares ponctions que ces élevages [de primates] sont parfois obligés d’effectuer en milieu sauvage (2% environ du total)".Le même journal cite Geneviève Perrin-Gaillard, du groupe d’étude de l’Assemblée nationale consacré à l’animal, qui déclare "il faut plus que jamais poursuivre les contrôles, y compris dans les facultés de médecine qui pourraient ne pas être à l’abri des trafics de chiens".



Pourquoi les chercheurs préfèrent-ils avoir recours à des animaux provenant d’élevages spécialisés et officiellement déclarés ? [Réponse de Pro Anima]



Les animaux provenant d’élevages spécialisés répondent à des exigences génétiques et sanitaires bien définies. Ainsi les chercheurs peuvent disposer de groupes homogènes d’animaux de qualité permettant d’obtenir des résultats scientifiques plus précis et plus fiables. Ceci évite la répétition des essais de recherche et limite, in fine, le nombre d’animaux impliqués.

Le fait que ces élevages soient officiellement agrées assure aux chercheurs une transparence et un contrôle des procédures d’élevage (fournisseurs, personnel, registres officiels,…).

Source : "Expérimentation animale", AGIM.


Réponse de Pro Anima :

"les chercheurs peuvent disposer de groupes homogènes d’animaux" : cela diffère encore plus des conditions naturelles. Ces chercheurs travaillent sur des lots d’animaux tous pareils et veulent appliquer leurs résultats à des humains, différents de ces animaux et différents entre eux ? Un même médicament peut avoir des effets secondaires graves pour une personne et être bien toléré par une autre. Tout scientifique devrait tenir compte de la variabilité du vivant et non pas établir des protocoles expérimentaux qui se restreignent à de petits groupes d’individus.

Par ailleurs, par exemple, la susceptibilité aux cancérigènes de la lignée de souris C3H est cent fois supérieure à celle de la lignée C57B1 : on peut faire dire n’importe quoi et son contraire à de tels « modèles ».



Qu’est-ce qu’un animal transgénique et pourquoi l’utilise-t-on en recherche biomédicale ? [Réponse de Pro Anima]



Les animaux transgéniques (essentiellement la souris) sont des animaux dont le patrimoine génétique a été modifié de façon à obtenir des modèles biologiques pertinents reproduisant une maladie humaine déterminée :

- soit par l’introduction d’un ou plusieurs gènes entraînant l’apparition de la maladie à étudier, ce qui permet de tester les médicaments appropriés,

- soit par la suppression d’un gène permettant d’analyser les conséquences biologiques de cette perte.

Certaines pathologies humaines sont en effet difficiles à étudier car elles ne possèdent pas d’équivalent spontané chez l’animal ; toutefois, elles peuvent être reproduites chez les animaux transgéniques.
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MessageSujet: Re: n tests sur animaux horreur , mensonge = "aucune' cruauté!   n tests sur animaux horreur , mensonge = "aucune' cruauté! - Page 3 Icon_minitimeDim 27 Mai - 4:11

Vivisection

Il devient alors possible, grâce à ces derniers, de mieux comprendre le mécanisme de certaines maladies comme la mucoviscidose, la maladie d’Alzheimer, les myopathies,… et d’en rechercher les traitements spécifiques.

Source : "Expérimentation animale", AGIM.


Réponse de Pro Anima :

"Les animaux transgéniques (essentiellement la souris) sont des animaux dont le patrimoine génétique a été modifié de façon à obtenir des modèles biologiques pertinents reproduisant une maladie humaine déterminée" : C’est loin d’être aussi simple. Le fait d’introduire dans les cellules d’une souris un ou une poignée de gènes humains, parmi 30 ou 40 000 gènes de souris, et de les faire s’exprimer par la machinerie cellulaire de la souris, « humaniserait » biologiquement cette souris ? La revue Science, vol 278, n° 5340, p1041, cite le cas d’une souris à laquelle il manque le gène APC, condition qui peut entraîner un cancer du côlon chez l’homme. Cette souris, d’après l’auteur, développe un début de maladie semblable à la maladie humaine mais qui progresse différemment, épargnant le foie, ce qui n’est pas le cas chez l’homme. D’autres exemples sont donnés où une mutation chez la souris d’un gène censé être équivalent du gène humain entraîne des types de tumeurs différentes.

"l’introduction d’un ou plusieurs gènes" est un processus que l’expérimentateur ne contrôle pas. Le gène se fixe là où il veut et peut entraîner l’inactivation d’autres gènes, son produit peut interagir avec le produit d’autres gènes, de sorte que l’on ignore tout du mécanisme mis en jeu dans la pathologie observée sur l’animal modifié de la sorte. Cela peut, certes, donner un animal rendu malade mais le mécanisme moléculaire à l’origine des symptômes observés peut être totalement différent du mécanisme en jeu chez l’humain souffrant naturellement de la maladie, même si les symptômes observés dans les deux cas sont similaires. Un médicament est une molécule. Il va donc interagir avec les molécules produites par l’individu. Il n’est donc pas logique de chercher à développer des médicaments sur un modèle dont les interactions entre molécules diffèrent peut-être totalement de ce qu’elles sont chez l’humain.
Mucoviscidose, Alzheimer, myopathies n’existent pas chez les animaux. On perd du temps à étudier, chez ces derniers, des pathologies fabriquées par l’homme, alors qu’on a les moyens d’étudier, de façon non invasive, les vraies pathologies humaines.
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MessageSujet: Re: n tests sur animaux horreur , mensonge = "aucune' cruauté!   n tests sur animaux horreur , mensonge = "aucune' cruauté! - Page 3 Icon_minitimeDim 27 Mai - 4:13

Vivisection

Quelle assurance a-t-on que l’on n’utilise plus pour la recherche des animaux perdus ou volés ? [Réponse de Pro Anima]



La réglementation impose aux laboratoires de se fournir auprès des centres d’élevage ou de fournisseurs agréés par le ministre de l’Agriculture et contrôlés par l’Inspection générale des services vétérinaires.

Tous les animaux doivent être identifiés à l’aide d’un marquage individuel et permanent. Dès leur arrivée au laboratoire, les animaux sont notés dans le registre « ad hoc » où l’origine et tous les mouvements sont inscrits en permanence. Ces registres peuvent être vérifiés à tout moment par l’Inspection générale des services vétérinaires. Sous peine de sanctions graves, les laboratoires sont tenus au respect de ces dispositions réglementaires et donc à la non-utilisation d’animaux acquis frauduleusement.

Source: "Expérimentation animale", AGIM.


Réponse de Pro Anima :

La question n’était pas "quelle est la réglementation" mais "quelle assurance a-t-on". Qu’une réglementation existe n’est pas une assurance qu’elle soit respectée. Craindre, comme Geneviève Perrin-Gaillard, du groupe d’étude de l’Assemblée nationale consacré à l’animal, que "les facultés de médecine qui pourraient ne pas être à l’abri des trafics de chiens" signifie, implicitement, reconnaître la possibilité que ces trafics existent.
Il faudrait connaître le nombre d’établissements à contrôler et le nombre d’inspecteurs pour estimer si un contrôle efficace est possible.



Les animaux souffrent-ils ? [Réponse de Pro Anima]



Dans 58% des expérimentations conduites dans le monde, les animaux impliqués ne sont confrontés à aucune douleur ou subissent un désagrément qui n’est pas différent de celui que nous ressentons lors d’une piqûre ou d’une prise de sang.

Dans 35% des expérimentations, les animaux reçoivent des analgésiques et/ou anesthésiques afin de leur éviter toute douleur inutile qui perturberait, en outre, les conditions des essais.

Dans les 7% restants, les animaux peuvent souffrir parce que l’objet de l’étude est la douleur ou parce que l’usage d’anesthésiques risquerait de perturber les résultats.

Source : "Expérimentation animale", AGIM.


Réponse de Pro Anima :

D’après le Quid 2002, 800 millions d’animaux seraient utilisés par an dans le monde. 7%, cela représenterait 56 millions d’animaux qui souffrent au cours d’expériences. Tout un chacun a pu voir des photos de singes ou de chats avec des électrodes dans la tête ou dans des appareils de contention, des chiens avec des cathéters sortant du ventre, des souris avec des tumeurs dont l’importance double presque le volume de leur corps, etc., et peut se faire une idée de ce que le terme "douleur" recouvre quand il est prononcé par des chercheurs utilisant les animaux.

Quant aux 58% qui ne subissent pas plus de désagrément que celui d’une piqûre, les humains qui redoutent les piqûres peuvent juger du désagrément. D’autant plus gênant pour les animaux que ce désagrément supplémentaire leur a déjà valu celui de passer leur vie dans une cage, même pas à l’air libre comme dans un refuge, mais à l’intérieur d’un local éclairé et ventilé artificiellement, et d’être nourris toujours selon le même menu, sans compter d’autres possibles désagréments inhérents à la captivité et à la condition de cobaye.

Enfin, les 35% qui reçoivent des analgésiques incluent sans doute ceux qui sont opérés comme préalable à la vraie expérience. Certes, l’intervention se passe peut-être sans douleur mais tout opéré connaît les désagréments du réveil.
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MessageSujet: Re: n tests sur animaux horreur , mensonge = "aucune' cruauté!   n tests sur animaux horreur , mensonge = "aucune' cruauté! - Page 3 Icon_minitimeDim 27 Mai - 4:13

Vivisection

Qu’arrive-t-il aux animaux à la fin des essais ? [Réponse de Pro Anima]



Dans la plupart des cas, les animaux sont euthanasiés en fin d’étude selon les méthodes recommandées par les instances nationales et européennes, en général après l’anesthésie.

Source : "Expérimentation animale", AGIM.


Réponse de Pro Anima :

Aux Etats-Unis, pourtant, les chimpanzés et autres primates utilisés en virologie posent un problème. Ces singes ne peuvent être remis en liberté, car ils représentent un réel danger infectieux pour les humains, et l’on ne se résout pas non plus à les euthanasier.

Si l’animal n’a pas souffert (souffrance appréciée par l’expérimentateur et abstraction faite de la captivité), il pourra être réutilisé.

"Quant aux primates, on peut obtenir, de manière exceptionnelle, une dérogation afin de les offrir, à titre gracieux, à des zoos". L’hôtel des singes de l’université de Strasbourg "accueille en outre quelques macaques retraités, qui y finissent leurs jours, atteints de cataracte [c’est-à-dire probablement rendus aveugles], après avoir été utilisés pour des recherches en ophtalmologie" (Le Quotidien du médecin, 2 octobre 2003).



Quelles formations reçoivent les expérimentateurs ? [Réponse de Pro Anima]



Les programmes de formation sont de trois niveaux selon qu’il s’agit :

- de personnes assurant la responsabilité scientifique directe de l’expérimentation ;

- de personnes appelées à participer directement aux expériences ;

- de personnes en charge de l’hébergement, de l’entretien et des soins des animaux.

Source : "Expérimentation animale", AGIM.


Réponse de Pro Anima :

En attendant d’avoir leur diplôme, les étudiants de biologie et médecine peuvent se voir demander de faire une expérience sur un pigeon, une souris, un lapin, etc, sans avoir jamais reçu la moindre formation. Même en présence du surveillant, des mains inexpertes peuvent causer de la douleur chez leur cobaye.



Qu’est-ce qui nous donne le droit de pratiquer l’expérimentation animale ? [Réponse de Pro Anima]



L’Homme a le devoir de soigner au mieux les malades, et de sauver les Hommes et les animaux en péril. Pour cela, il faut améliorer ses connaissances dans les domaines de la biologie et de la médecine humaine et vétérinaire. Dans ce but, il a recours à l’expérimentation animale lorsqu’il ne dispose pas d’autres méthodes d’investigation. Toutefois, toute personne pratiquant l’expérimentation biologique doit prendre conscience que l’animal est un être doué de sensibilité et de mémoire, capable de souffrir sans pouvoir échapper à la douleur. La morale humaine enjoint donc de le respecter et de ne pas le faire souffrir inutilement.

Source : "Expérimentation animale", AGIM.


Réponse de Pro Anima :

En matière de "droit" et de "morale", une réponse ne peut être scientifique. Elle n’apporte que la position de la personne qui la prononce. La contribution de Pro Anima à ce débat est de démontrer que l’expérimentation animale est non seulement inutile pour les humains, mais encore, dangereuse, puisque chaque jour, des humains meurent des substances et techniques mises au point sur les animaux. Nous suggérons aux chercheurs qui utilisent les animaux de s’informer sur les conséquences désastreuses de leurs découvertes, de s’informer sur les techniques modernes de biologie cellulaire, moléculaire et d’exploration médicale, avant de se poser à nouveau cette question.

La morale humaine enjoint non seulement de respecter l’animal et de ne pas le faire souffrir inutilement, mais aussi, de respecter l’Homme et de ne pas le faire souffrir inutilement. Au vu de la souffrance et des morts humaines provoquées par des substances mises au point sur des animaux, au vu de la non assistance aux victimes du cancer ou du SIDA maintenues dans l’attente d’un hypothétique remède issu de la recherche animale alors que de possibles thérapies existent déjà, on peut se demander si ceux qui revendiquent le droit de perpétuer l’expérimentation animale respectent les humains.





Pour d’autres précisions, contactez le Comité scientifique Pro Anima
16, rue Vézelay - 75008 Paris - France
Tél. : 01 45 63 10 89
www.proanima.asso.fr
E-mail

un site sur la vivsection :

http://www.mrmcmed.org/critical_look_f.pdf
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MessageSujet: Re: n tests sur animaux horreur , mensonge = "aucune' cruauté!   n tests sur animaux horreur , mensonge = "aucune' cruauté! - Page 3 Icon_minitimeDim 27 Mai - 4:14

Vivisection

Effets différents des substances selon les espèces

Traduction d'un article de zeusinfoservice paru sous le titre "Man and Animals"

"L’homme et les animaux
Deux grammes de scopolamine tuent un être humain tandis que les chats et les chiens peuvent supporter des dosages cent fois supérieurs.

Un seul champignon Amanite phalloïde peut décimer une famille entière d’humains, mais il s’agit d’un aliment bon pour la santé du lapin, l’un des animaux favoris des laboratoires.

Un porc-épic peut avaler d’un seul trait et sans troubles digestifs autant d’opium qu’un humain dépendant en fumerait en deux semaines et accompagner son dîner d’une dose d’acide prussique suffisante pour empoisonner un régiment de soldats.

Un mouton peut avaler d’énormes quantités d’arsenic, l’arme préférée des meurtriers.

La morphine, qui calme et anesthésie l’homme, cause une folle excitation chez les chats et les souris !!

D’un autre côté, l’amande douce peut tuer un renard ; le persil tant utilisé dans nos cuisines est mortel pour les perroquets et notre chère pénicilline tue un autre animal favori des laboratoires, le cochon d’Inde.

La liste pourrait être prolongée à volonté, mais ces quelques exemples devraient suffire pour montrer qu’il ne pourrait y avoir de moyen moins fiable pour tester de nouveaux médicaments (d’ailleurs a priori pas indispensables) que l’expérimentation sur les animaux.

Les soi-disant autorités sanitaires et les chercheurs sont parfaitement conscients de ce fait, mais sortent toujours la même rengaine aux médias et au public : « vous voulez que l’on teste les nouveaux médicaments sur vos enfants ? »

En vérité, tous les produits synthétiques sont nocif et tous les nouveaux médicaments sont testés sur vous et sur vos enfants, tout le temps. Les tests sur les animaux qui, il faut le répéter, servent uniquement d’alibi, n’ont pu donner de réponse, ou pire encore, ont donné des réponses trompeuses lorsqu’on les transpose à l’homme. Cette règle ne connaît pas d’exception..

En vérité, les désastres thérapeutiques, qui ne cessent d’augmenter, n’existaient pas avant l’obligation de pratiquer des tests de sécurité sur les animaux. Ces catastrophes résultent directement de l’expérimentation animale si répandue.

…TOUTES les expériences sur les animaux sont illogiques et non-scientifiques. Elles sont également cruelles, immorales et écœurantes…Tous les animaux détenus dans tous les laboratoires devraient être libérés et leur place devrait être prise par les partisans de la vivisection, les directeurs des sociétés pharmaceutiques et par les médecins et politiciens qui approuvent l’expérimentation sur les animaux. On pourra alors observer les effets des poisons sur la santé humaine."
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MessageSujet: Re: n tests sur animaux horreur , mensonge = "aucune' cruauté!   n tests sur animaux horreur , mensonge = "aucune' cruauté! - Page 3 Icon_minitimeDim 27 Mai - 9:45

En cosmétologie 38 000 animaux continuent à être mutilés chaque année dans les laboratoires européens pour mettre au point une crème de beauté, un rouge à lèvres ou un shampooing.

Pourquoi les animaux souffrent-ils toujours au nom de la beauté ? Dans le domaine des produits de beauté, le but de l'expérimentation animale est essentiellement de réaliser des essais de toxicité de substances biologiques et chimiques - ingrédients et formules - afin de vérifier leur innocuité et d'en contrôler la qualité.
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MessageSujet: Re: n tests sur animaux horreur , mensonge = "aucune' cruauté!   n tests sur animaux horreur , mensonge = "aucune' cruauté! - Page 3 Icon_minitimeMar 29 Mai - 11:09

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