stop au massacre des globicéphales

ensemble stoppons cet holocauste

Ce que font les habitants des îles Féroé est encore plus cruel que l’abattage des dauphins à Taiji, au Japon”, dit Steve Roest, président de Sea Shepherd ; La communauté locale prend le large à bord de petits bateaux chargés de pierres, de crochets, de cordes et de couteaux. Une fois près du banc, les bateaux forment un petit demi-cercle à l'arrière. De petites pierres attachées à des lignes sont jetées dans l'eau pour créer un mur de bulles barrant le sonar du globicéphale. Les cétacés l'interprètent comme une falaise dont il faut rester éloigné, ce qui permet aux petits bateaux de les diriger jusqu'aux hauts fonds. Au fur et à mesure que le banc se rapproche de la côte, les bateaux continuent de fatiguer et d'effrayer les mammifères jusqu'à ce qu'ils s'échouent sur la rive. Une fois sur la plage, un couteau est utilisé pour trancher les veines et les artères alimentant en sang la tête des globicéphales qui souffriront

entre 30 secondes et 4 minutes avant de mourir. Les globicéphales qui ne sont pas rejetés sur la rive se voient planter une gaffe dans leur orifice respiratoire et tirer jusqu'à la plage à l'aide de cordes., mais le blocage des voies respiratoires des cétacés est incroyablement douloureux et provoque affolement et blessures qui ne sont certainement pas amoindris par les eaux qui deviennent rapidement rougies par le sang dans un rituel rappelant étrangement la violence des jeux du cirque. Alors que la communauté humaine entière prend part à cette orgie sanglante, la viande de globicéphale est partagée par les autochtones, même si elle reste bien souvent à pourrir sur la plage. Jusqu'à 1 000 globicéphales peuvent être tués chaque année de cette façon, principalement aux mois de juillet et d'août; on demande au premier ministre kaj leo holm johannesen de stopper ce massacre, et de laisser en paix ces bons cétacés