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 agissons , arrêtons massacre, braconnage, pour viande Bonobo

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saveallGOD'sAnimals
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Masculin Nombre de messages : 25233
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MessageSujet: agissons , arrêtons massacre, braconnage, pour viande Bonobo   agissons , arrêtons massacre, braconnage, pour viande Bonobo Icon_minitimeMer 6 Juin - 9:37



ce singe vit en République Démocratique du Congo, dans les forêts sèches et primaires situées dans le bassin du fleuve Congo. Il ne chasse que très rarement d’autres animaux. La communication est efficace. Si un bonobo montre les dents, c’est qu’il se sent menacé par un de ses compagnons. Si un petit est perdu ou s’il se trouve face à un objet inconnu, le bonobo montre son inquiétude en faisant un « O » avec ses lèvres. Une mère rassurera un petit effrayé en l’entourant de ses bras. Le geste « épouillage » : lorsqu’un singe enlève les parasites d’un autre, ça renforce les liens entre eux. Les bonobos sont très menacés. D’après les derniers calculs, il ne reste qu’entre 10.000 et 20.000 individus. vu la situation critique de ce pays, aucun recensement récent a eu lieu. leur nombre a diminué de moitié durant les 20 dernières

années. Les braconniers les chassent illégalement pour les vendre comme viande de brousse, comme animaux de compagnie, ou pour leurs soi-disant vertus médicinales .on les utilise notamment dans la médecine traditionnelle. Ils sont victimes des guerres. la plus grande menace reste la destruction de la forêt tropicale pour l’exploitation agricole (cultures, élevage...) Si la déforestation continue à la même vitesse, on pense qu’elle aura totalement disparu en RDC d’ici 50 à 70 ans. Le WWF a aidé à former des gardes responsables de la surveillance du parc national de la Salonga. Ce parc abrite la plus grande étendue de forêt tropicale de tout le continent africain et demeure le seul refuge sûr où vivent des bonobos. Si tu veux en savoir plus, voie notre campagne Congo. Tu peux aider les bonobos.


Dernière édition par saveallGOD'sAnimals le Dim 19 Juin - 19:15, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: agissons , arrêtons massacre, braconnage, pour viande Bonobo   agissons , arrêtons massacre, braconnage, pour viande Bonobo Icon_minitimeVen 17 Juin - 4:10

https://www.terresacree.org/bonobos.htm

http://lolayabonobo.fr/

La fin des bonobos

Les chiffres sont alarmants : les Orans-outans étaient au nombre de 50 000 à 100 000 il y a vingt ans. Ils ne sont que 4 000 à 7 000 aujourd'hui. Les effectifs des bonobos, 100 000 dans les années 1980, ne dépasseraient pas 10 000 à 50 000 individus. Le dénombrement des chimpanzés, répartis dans 21 pays d'Afrique, est difficile mais ils seraient 100 000, soit quatre fois moins nombreux qu'il y a dix ans. Depuis vingt ans, les populations de gorilles des plaines ont été divisées par deux avec seulement 17 000 individus recensés. Seuls les gorilles des montagnes connaissent un répit, avec un doublement des effectifs ces dernières années. Mais ils ne sont que 700... Hervé Morin Le monde du 1er septembre 2005.

À l'initiative de Pascal Picq, paléoanthropologue au Collège de France, un appel a été lancé pour la sauvegarde des grands singes. Pour rejoindre cet appel, vous pouvez signer la pétition en ligne disponible à cette adresse : http://www.cite-sciences.fr/petition/grands-singes




Une Ong lutte contre la pauvreté, pour venir au secours des singes bonobosalt

Le Potentiel (Kinshasa)

10 Octobre 2005
Publié le 10 Octobre 2005

R.s.k
Kinshasa

La Fondation pour la protection de la vie sauvage en Afrique (Awf) a plaidé jeudi dans la salle de Conférences des Affaires étrangères à Washington, aux Etats-Unis pour la préservation des bonobos, grands singes menacés d'extinction en République démocratique du Congo. Elle juge que ce combat doit passer par la lutte contre la pauvreté.

«Il y a une réelle menace sur la biodiversité. (...) Si nous voulons protéger le bonobo, nous devons faire quelque chose contre la pauvreté de la population locale», a déclaré Jef Dupain, primatologue biologiste de l'Awf, lors d'une conférence de presse à Washington, où l'Ong est basée. «La population «n'a pas d'autre alternative que de se tourner vers la viande de brousse comme un moyen de survivre», a estimé M. Dupain. La viande est consommée directement ou fait l'objet d'un trafic. Après une étude socio-économique en Rdc, de juillet à octobre 2004, dans la province de l'Equateur (Nord), l'Awf a conclu que «la cause première de la pauvreté est l'inaccessibilité des marchés pour les produits agricoles». Aussi vient-elle de lancer, sur la rivière Maringa, une barge destinée à charrier les produits agricoles vers les marchés de Kinshasa, pour y être revendus. Le bateau, parti il y a trois semaines de Kinshasa, doit ainsi sillonner 3.200 kilomètres sur la rive gauche du fleuve Congo, pour collecter, au gré des escales, jusqu'à 700 tonnes de maïs, de riz, de arachide, de cassava, de soja et autres céréales.

D'un montant de 50.000 dollars financés par les Pays-Bas, l'opération, qui a débuté peu après la déclaration intergouvernementale pour la survie des grands singes, signée le 9 septembre à Kinshasa, doit durer jusqu'en juin 2006. Elle sera seulement interrompue pendant les mois de sécheresse de décembre à avril, au cours desquels la navigation est impossible



15 décembre 2004
________________________________

"Selon une étude récente effectuée par des chercheurs de l'institut
congolais de conservation de la nature, les bonobos, qui vivent au coeur de
l'Afrique équatoriale, dans la région du fleuve Congo, sont en voie de
disparition", rapporte l'hebdomadaire britannique Nature. En effet, après
avoir parcouru les 36 000 kilomètres carrés du parc national de Salonga,
situé en république démocratique du Congo (RDC), les chercheurs n'ont pas
rencontré un seul de ces singes que l'on surnomme chimpanzés pygmées en
raison de leur taille. Cependant, des traces de bonobos ont été découvertes
et permettent d'estimer qu'environ 10 000 de ces animaux vivent encore.
"Bien qu'il soit illégal de les tuer, de nombreux braconniers n'hésitent pas
à abattre ces singes qui sont considérés comme les plus proches parents de
l'homme", déplore Peter Stephenson, du World Wild Life Fund (WWF), qui a
commandité l'étude. Le WWF est prêt à investir dans la lutte contre le
braconnage afin de protéger l'un des animaux les plus emblématiques de la
planète.

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En savoir plus sur les Bonobos

Les chimpanzés forment une société dominée par les mâles, contrairement à ce qui se passe chez les bonobos, où ce sont les femelles qui dominent le groupe. Les deux espèces pratiquent la chasse en groupe et le partage de la nourriture, mais seuls les chimpanzés connaissent des affrontements politiques et même une forme primitive de guerre.

C'est que chez les bonobos, le sexe se substitue à l'agressivité. Tant les mâles que les femelles connaissent l'orgasme. Les pratiques sexuelles de ces singes étonnants comprennent des attouchements à deux ou à plus, entre partenaires de sexe opposé ou non, ainsi que le baiser sur la bouche, la masturbation, la fellation et la copulation dans toutes les positions, y compris celle du missionnaire qui est censée être le propre de l'homme...

Cette sexualité débridée, notent les primatologues, encourage le partage et sert à apaiser les tensions ou à se réconcilier. Elle permet aux bonobos de se mettre à la place de l'autre. Comparé au chimpanzé, le bonobo est un maître de la communication sociale. Son cousin ne l'emporte que dans la manipulation d'objets et dans l'orientation spatiale. Et de qui l'humain est-il le plus proche? Difficile à dire, mais l'étude du bonobo jette un curieux éclairage sur nos sociétés.

(Source Cybersciences)

________________________________

LE BONOBO (Pan paniscus)

Statut :
En danger
Suite à la situation politique en République démocratique du Congo, aucun recensement récent n'a eu lieu. D'après les études de terrain, on estime leur nombre à 10 à 20.000 individus dans le meilleur des cas. Une étude basée sur la distribution connue et la densité de population abaisse ce chiffre à 5.400 individus.

Habitat :
On trouve les bonobos dans le bassin du fleuve Congo. Leur territoire (discontinu) s'étend entre le fleuve Congo, le fleuve Lomami, les rivières Kasai/Sankuru et la région des lacs Tumba et Ndombe bien qu'ils semblent absents de la zone centrale comprise entre les rivières Momboya et Busira. Ce territoire couvre environ 350.000 km² mais les bonobos ne sont présents que dans quelques zones éparpillées.

Biologie :
Les bonobos (ou chimpanzés nains) sont peu différents des chimpanzés communs (Pan troglodytes). Ils sont plus minces, leur crâne est plus petit et plus rond. Ils ont une face plate, entièrement noire.

Dimensions
Les mâles mesurent de 73 à 83 cm et pèsent 45 kg.
Les femelles mesurent 70 à 76 cm et pèsent 33 kg.

Moeurs
Les bonobos sont des animaux très sociaux qui vivent en communauté pouvant atteindre 100 individus. Au sein de celle-ci, une dizaine d'individus forment un groupe centré autour d'une femelle et de sa descendance mâle. La cohésion du groupe est renforcée par des séances d'épouillage collectives. Les relations sexuelles sont fréquentes et sont utilisées pour diminuer les tensions sociales.

Alimentation
Les bonobos se nourrissent de fruits, de graines, de fleurs et d'invertébrés. Ils mangent aussi de petits mammifères bien qu'on les aient rarement vu chasser activement, contrairement aux chimpanzés.

Reproduction
Les femelles sont sexuellement matures vers 13 ans. La gestation dure entre 220 et 230 jours. Elles donnent naissance à 1 petit tous les 5 ans environ qui sera éduqué pendant 4 ans. Les jeunes mâles restent dans le groupe de leur mère tandis que les femelles, arrivées à maturité, partent rejoindre un autre groupe.

Les menaces

Destruction de l'habitat et chasse

Les bonobos sont menacés par la diminution de leur habitat et la chasse. Les forêts sont détruites par la déforestation. Beaucoup de populations locales trouvent dans la faune sauvage leur seule source de protéines. Mais le commerce de viande de brousse organisé par les employés des compagnies forestières fait des ravages en RDC.

Les bonobos sont aussi chassés pour la médecine traditionnelle. On attribue à certaines parties de leur corps des vertus fortifiantes aphrodisiaques. Ces 'remèdes' sont très répandus en RDC ce qui laisse supposer que de nombreux bonobos sont tués.

L'instabilité qui règne en RDC et l'augmentation de la pauvreté ne vont qu'augmenter la pression sur ces animaux. Ils ont déjà disparu de certains sites d'études où ils étaient abondants. Leur faible population, fragmentée combinée à leur faible taux de reproduction rend cette espèce extrêmement vulnérable à la perte de son habitat et à la chasse.

Source : http://www.wwf.be

Sites Web au sujet des bonobos, des chimpanzés et des primates

Site complet sur les Bonobos

Pour la conservation des bonobos et la biodiversité de leur environnement, un site passionnant à découvrir : http://www.pan-paniscus.org

One Voice : une seule voix pour eux tous.

Planète Bonobos : http://www.onevoice-ear.org/campagnes/grands_singes/planete_bonobo.html

environnement, nature, écologique, biohttp://www.bushmeat-campaign.net/franzsite/pdf/bonobos1.pdf

environnement, nature, écologique, biohttp://www.bushmeat-campaign.net/franzsite/pdf/bonobos2.pdf

environnement, nature, écologique, biohttp://www.cite-sciences.fr/francais

environnement, nature, écologique, biohttp://www.janegoodall.ca/fr/rs/rs_educat_link.html

environnement, nature, écologique, biohttp://bonoboducongo.free.fr/

environnement, nature, écologique, bioChimpanzee and Human Communication Institute
« L'Institut pour la communication entre chimpanzés et êtres humains » a été fondée par Roger Fouts, un primatologue renommé. L'Institut est reconnu grâce à Washoe, le célèbre chimpanzé chantant et ses amis.

environnement, nature, écologique, bioLe cercle d'admirateurs de Chunky Monkey (The Chunky Monkey Fan Club ) est un site amusant pour les petits enfants. Lisez le récit d'un gros singe à qui l'on donnait trop de nourriture et des dirigeants du zoo qui durent trouver une solution pour réduire le solde de leur compte auprès de la compagnie Fanna Banana. D'autres activités permettent aux enfants de dessiner, de s'abonner ou de faire des achats en ligne. Ne manquez pas non plus de visiter les Amis de Chunky Monkey qui habitent la forêt tropicale.

environnement, nature, écologique, bioSauvons les chimpanzés (Save the Chimps)
Le site Web du Centre d'assistance pour chimpanzés vivant en captivité (Center for Captive Chimpanzee Care) a été créé afin d'aider à réunir des fonds pour construire un sanctuaire pour les 141 chimpanzés provenant de l'armée de l'air qui ont récemment été confiés à la Fondation Coulston (Coulston Foundation).

environnement, nature, écologique, bioLa Fondation Fauna (The Fauna Foundation) :
« La fondation est dévouée à la création d'un envrironnement bienveillant pour les animaux de ferme et de cirque négligés et abusés, ainsi que les chimpanzés utilisés pour la recherche biomédicale. Grâce à l'éducation, elle favorise une meilleure compréhension de ces créatures. » La fondation est située sur la rive-sud de Montréal.

environnement, nature, écologique, bioLigue internationale pour la protection des primates (International Primate Protection League) :
« Depuis 1973, la ligue tente de protéger les gorilles et tous les primates vivants. »

environnement, nature, écologique, bioLe projet international des grands singes (GREAT APE PROJECT - International) :
« Une idée, un livre et une organisation » est la formulation du projet en trois volets visant à « inclure les grands singes non humains au sein d'une communauté d'êtres égaux, en leur accordant la protection morale et légale de base dont bénéficient les êtres humains en ce moment. »

La consommation de viande de brousse est un véritable fléau pour les bonobos. Une fois les adultes tués pour leur viande, Lola Ya Bonobo recueille les orphelins rescapés, trop chétifs pour être mangés. Claudine André nous raconte.

Au sanctuaire de Lola Ya Bonobo, un bébé bonobo. © Emmapatsie CC BY-NC 2.0
Au sanctuaire de Lola Ya Bonobo, un bébé bonobo. © Emmapatsie CC BY-NC 2.0

Claudine André :

En République démocratique du Congo, les trafiquants de viande de brousse n’y vont pas par quatre chemins. Ils traquent des groupes entiers de bonobos, qu’ils massacrent pour les boucaner et les vendre sur les marchés. Trop petits pour être mangés, les bébés échappent à la mort. Ils finissent vendus comme animaux de compagnie pour quelques dizaines de dollars. Mais là encore, le danger demeure ; leur fragilité et le sevrage brutal de l’allaitement maternel peuvent leur être fatals. S’ils survivent, c’est « par horoscope » comme on dit au Congo, quand la chance est du bon côté. Les sanctuaires sont le dernier maillon de la chaîne qui récupère ces orphelins « chanceux », issus du commerce et du trafic de viande de brousse. La nursery marque la première étape de la vie d’un orphelin chez nous, l’endroit où il va retrouver l’envie de vivre grâce à l’affection et la tendresse que les mamans humaines de substitution lui donnent. Les petits arrivent à Lola Ya Bonobo amaigris, déshydratés, ils restent accrochés à la mort. Les traumatismes subis sont terribles : séparation brutale de la mère, du groupe, du biotope, les massacres dont ils ont été témoin, le stress d’un interminable voyage, les coups ou mutilations dont ils ont été victimes. Tous nos orphelins sont victimes de l’insouciance et de la cruauté humaine, et certains ne s’en sortent pas. Ce fut le sort de la petite Waola. Elle est arrivée à Lola Ya Bonobo un jour de Noël, cruellement mutilée et en état de détresse extrême. Malgré tous les efforts du personnel soignant, la petite n’a pas survécu à ses blessures.

Vanessa Woods, une scientifique australienne en visite au sanctuaire Lola Ya Bonobo. © DP
Vanessa Woods, une scientifique australienne en visite au sanctuaire Lola Ya Bonobo. © DP

Le malheur est que le « succès » des sanctuaires en dit long sur l’importance du trafic de viande de brousse. Beaucoup d’entre nous sont déjà presque à saturation d’effectifs. Un état de fait illustrateur d’une bien triste vérité. L’ampleur réelle du trafic de viande de brousse demeure très difficile à cerner. Si les responsables de l’environnement possèdent peu d’indices précis sur l’évolution du marché, on l’estime à plusieurs millions de tonnes par an consommées annuellement pour le seul bassin du Congo. La viande boucanée, en morceaux, est peu identifiable. Détail atroce : afin d’éviter que leur cadavre ne ressemble trop à celui d’un enfant, les trafiquants laissent de petits singes entiers, avec leur fourrure.

La croissance démographique, l’urbanisation combinée à la prolifération d’armes, elle-même favorisée par les différents conflits, ont accentué le massacre des animaux sauvages. Un trafic souvent commandité par des autorités civiles ou militaires qui fournissent les cartouches. On fait face à un véritable business. La consommation jadis locale et traditionnelle a laissé place à une économie à grande échelle, mettant en péril la survie de nombre d’espèces vivant au Congo. Avant d’avoir conscience d’un tel drame, je comprenais ce problème de tradition. Chasser en Afrique n’a rien de péjoratif, chasser les espèces sauvages est une tradition ancestrale. C’est la légitimité du peuple de la forêt. Elle est dictée par la nécessité de nourrir sa famille. C’est aussi respecter la sagesse des anciens. La chasse est certes naturelle, mais de traditionnelle, on est passé à une chasse quasi industrielle.

Un trafic qui prospère malgré la lutte antibraconnage

Si le cadre légal existe – renforcement de la lutte antibraconnage, contrôle intérieur du commerce de la viande de brousse, protection des espèces menacées – force est de constater que son respect est limité, corruption oblige. Malgré les saisies multiples et les progrès d’information et de sensibilisation, le trafic se poursuit et touche aussi bien les grands singes que d’autres espèces animales, telles que les antilopes, les gazelles ou les éléphants. Les braconniers disposent d’armes automatiques modernes que les guerres incessantes ont multipliées. Le désarmement des militaires étant périlleux, on constate une recrudescence du trafic en période d’après conflit. À Lola Ya Bonobo, entre 1996-1997 et 1999-2000, nous avons enregistré des pics d’arrivées massives de petits orphelins, après le massacre de leur tribu chassée pour la viande de brousse. Le trafic de viande de brousse est un problème très délicat et complexe à gérer. Cette surexploitation représente un danger considérable pour les espèces animales et constitue, par ailleurs, une menace directe pour le biotope et la population locale.

Lisala et bébé Nyota Loya née le 04/12/11. © Lola Ya Bonobo DR
Lisala et bébé Nyota Loya née le 04/12/11. © Lola Ya Bonobo DR

Pourtant, la charte de la Cites (loi qui gère le commerce international sur les espèces de faune et de flore sauvages en danger), dite convention de
Washington, a été ratifiée dans les années 1980 par le Zaïre, un des États pilotes dans ce domaine. Comme son cousin le chimpanzé, le léopard, l’okapi, le gorille, le rhinocéros et quelques autres, le bonobo est rangé dans l’annexe I, la plus contraignante. Le problème est de faire respecter ce texte. Certains détracteurs n’hésitent pas à mettre toujours en avant le respect des traditions et des chasses en forêt. Il faut convaincre que, traditions ou pas, la Cites fait loi. À charge pour les douanes européennes de faire preuve de plus de vigilance et de renforcer les surveillances de sites. Chez nous, la forêt primaire marécageuse, largement impénétrable à cause de ses inondations, a entraîné une plus faible présence des compagnies forestières, et donc moins de circulations incontrôlables. Nous ne connaissons pas en RDC ces trains de camions grumiers qui se suivent par dizaines, comme on en voit dans d’autres régions d’Afrique équatoriale (Gabon, Cameroun). Et puis, grâce aux charges terribles des conservationnistes, Karl Ammann en tête, les forestiers commencent à comprendre qu’il leur faut rapidement corriger l’image désastreuse qu’ils se sont, par leurs excès, forgée auprès de l’opinion publique. D’où une nouvelle approche qui les pousse désormais à mieux respecter l’environnement, et même à demander aux grandes ONG de la conservation des moyens pour équiper des patrouilles antibraconnage.

Mais comment empêcher ce trafic par la seule voie réglementaire, sans aider concrètement des populations qui n’ont pas d’autres recours pour survivre ?
La viande brousse, ressource alimentaire d’une population pauvre

Légaliste, je n’en demeure pas moins humaniste et réaliste. La pauvreté est partout et l’inactivité touche près de 90 % de la population. C’est encore presque l’âge de bronze au milieu de la forêt. Alors, comment les laisser mourir de faim et leur dire de regarder les animaux courir ? Des animaux qui sont leur seule source de protéines ? Il n’y a pas un Congolais qui pense que la forêt se vide, même si certains villages commencent difficilement à admettre de voir moins d’animaux qu’avant.

En dépit de la lutte que mènent les conservateurs sur le terrain, avec ou sans l’appui des grandes institutions internationales, les programmes de
conservation in situ enregistrent donc de bien maigres résultats. Il est vrai que l’Afrique, avec ses conflits, sa pauvreté, sa mauvaise gouvernance, leur donne du fil à retordre. Des ONG internationales se préoccupent de fournir une alternative aux populations qui, dans les biotopes des grands singes, vivaient de la chasse interdite et du trafic de la viande de brousse.

Malheureusement, ces tentatives ne sont pas toujours couronnées de succès. Ainsi, certaines populations perpétuent le braconnage malgré les subventions apportées. En Afrique, il faut manier la carotte et le bâton, à la fois rééduquer et sensibiliser mais aussi appliquer la loi. Les textes sont là ; une loi sur la biodiversité et un code forestier existent. Il faut la peur du gendarme, la crainte de la sanction. Quand celle-ci dépassera le profit, on aura fait un pas en avant. Malheureusement, ceux qui n’ont pas peur de la loi font souvent n’importe quoi. On se doit aussi de parler de santé publique. Avec la consommation de viande de brousse, le risque sanitaire est omniprésent ; lors de l’épidémie d’Ébola au Congo voisin, des tonnes de viande de brousse ont été jetées par-dessus bord des bateaux qui descendaient le fleuve Congo. Et c’est en manipulant des cadavres de primates infectés que des individus ont contracté le virus mortel. La peur fait écho et les acheteurs sont nettement moins nombreux.

Ultime objectif de Lola Ya Bonobo : un retour à la vie sauvage

À Pasa, lors de nos réunions, de nombreuses discussions portent sur l’avenir des sanctuaires à plus long terme, et en particulier sur les délicats problèmes de la réintroduction en pleine nature. Remettre les animaux dans leur milieu naturel semble une étape inévitable, ou alors il faudra accepter l’euthanasie des orphelins des derniers grands singes !!! Voilà pourquoi, depuis plus de quatre ans, notre association « ABC », les Amis des bonobos du Congo, prépare cette phase cruciale du retour en forêt, en étroite collaboration avec la population locale et les autorités compétentes. Le site choisi pour ce relâcher se situe dans la province d’Équateur, près de la ville de Basankusu, une réserve intégrale de 20.000 hectares de forêts marécageuses. La réintroduction d’un premier groupe d’une vingtaine de bonobos, socialement organisés et réhabilités à Lola, représente une chance inestimable pour le maintien de la biodiversité et pour la sauvegarde de l’espèce. C’est le peuple Pôo qui s’est engagé à devenir le gardien des bonobos et à surveiller « Ekolo ya bonobo », la première réserve au monde de réadaptation des bonobos à la vie sauvage.

Espèce endémique de la RDC, les bonobos étaient cinq fois plus nombreux il y a à peine 30 ans. Nous nous battons contre le temps. Les bonobos sont une richesse non seulement pour le Congo mais pour la planète entière.



si on arrêtait d 'élever des Animaux pour les manger , il y aurait énormément plus de Bonobos dans la planète terre : c'est tout à fait pas naturel pour un corps humain de boufer des Animaux pas humains , puisque on doit sans doute boufer que végétal : c'est ça ABBA DIEU des Cieux ? donc , si l'élevage fait disparaitre et massacrer les bonobos ; pas d'élevage animal pour laine, oeufs, fourrure, viande, cuir, lait, pas d'élevage du tout des ANimaux = habitat du Bonobo restauré, protégé, Bonobo en sécurité, protégé = Bononos ne sont plus en voie d'extinction

cela veut dire que les lucifériens qui controle l'unviers= 'illuminatis " , ont sans dotue inventé l'élevage animal pour de multiples raisons , telles que : massacrer les Bonobos, anéantir la santé & existance des Animaux d'elevage + anéantir santé & existance des humains, donc faire que les animaux et humains disparaissent d ' ici bas en nombre énorme , faire souffrir ces animaux & humains , faire disparaitre énormément d'espèces a part les Bonobos, telles que fauves, animaux de savane, ect

puisque, quand on y pense, les animaux d'elevage disparaissent pas, au contrair,e pusiqu'on les élèvent, donc ils peuvent pas devenir en voie d'extinction, si on passe notre temps à les faire reporduire , on fait très peu reproduire les animaux en voie d'extinction et c'est difificle de les faire reprodure: beaucoup meurent et beaucoup ont pas d ' enfants

les lucifériens ' illuminatis ' refusent de faire reproduire les animaux de savane , faues ect, en voie d 'extinction, pusique ça va contre leur idée et désir de faire disparaitre tout les animaux du monde, ils veulent donc pas les reproduire, mais les faire crever , car leur objetifc est de faire disparaitre tout animal & tout humain de la face du monde, ou d'en laisser que peu, style 1000 humains maximum 1000 animaux maximum, donc, ils veulent faire tuer tout être vviant non humain & humain

car, quand on regarde les statistiques de comment les lions, léopards, guépard, éléphants, tigrese ect, ont disparus en 50 ans, le nombre incroyable de disparitions en seulement 50 ans, on se dit que oui, pas le moindre doute : les lucifériens ' illuminatis' sont en train de faire ces animaux disparaitre,

ils désirent aussi faire disparaitre les humains, mais il y a beaucoup d'humains dans ce monde, donc les lucifériens qui controle l'univers font beaucoup plus disparaitre les espèces animales diverses, que els hommes, pourquoi , seul CHRIST et DIEU le savent

peut être c'est parce que si ils font disparaitre des tas d'humaisn, style des milliards ou millions rapidement, le genre humain va avoir des suspicions, et deviner qu'il existe les illuminatis, et deviner tout leur manège, donc leur massacre des humains ils le font lentement, en revanche celui des animaux, il le font hyper rapidement, exemple, en une décénnie ils peuvent faire disparaitre des millions ou miliers d'animaux

pourquoi ? les illuminatis satanistes ont pas peur que l'huamnité s'en rende compte ? non car lucifer a lavé les cervelles a l'ensemble de l'espèce humaine avec animaux= on s'en bat = valent preatiquement quedal = moi je je moi est important, les animaux ? oh non! ect, donc, l'humain qui voit ces espèces animales disparaitre se disent, qu'est ce que ça me fiche ? ma vie es importante pour moi, les vies des animaux ont pas la moindre improtance pour moi, ils cèvent, bon et alors ???? !!!! ou d'autres se disent: si, c'est plus ou moins important a mon coeur, ça m'attrsite de voir ces espèces disparaitr,e mais bon, le monde cotninue de tourner! et je continue d'exister!

car comme l'humain a trop plus d'amour pour l'humain que pour l'Animal, et que la plupart des hommes qui sont dans ce monde refusent d'agir pour défense, respect, restauration des droits, vie éthoques, traitement éthque,s traitement humains et bourré de compassion vers l'animal, torp pas envie d'agir, trop aps de désir de sauver les animaux, car ils le voient comme - que - des animaux, que de la poubelle, car le diable les a condittioné retourner les subconciences, cervelles, , âmes, consciencies coeur avec ça, c'est pourquoi ils refusent de faire quoi que ce soit pour agir pour la sauvegarde, et le respect des animaux, quand ils onservent l'huamnité détruire la vie, els habitat, abuser, amssacre,r violer, dépécer vifs, torutrer, abbatre, des animaux innocnets, sans raison, que pour l'osielle : braconnage, laine, viande , chasse ect

par contre , si toutes ces abominables horreur étaient faites aux hommes, l'homme agirait , sohaiteairt avec totues ces force, tout son coeur, tout son esprit, toute son âme voler à 'laide de tout humain, violé, epxloité, massacré, dépécé vivant torturé ect,

donc c'est pourquoi, l'humain quand il voit les chiffres d'extinction des animaux en 50 balais, 100 balais ect, se dit, rien, jsute blazé, pas itneressé, pas choqué, ça lui es assez égal, dans l'esnebmle, car c'est ' que des animaux' dans leur coeur, c'est pourquoi ils peuvent pas se dire! complot des lucifériens illuminatis! puisque qui plus est, on a été endoctirné l'ensemble des terriens hommes , pour avoir des esprit, âmes, consicence,s subconcieces, ciboulots totalement contraire a des âmes, subocnciences, epsrit, concience,s ciboulot ect conspirationnistes, donc on va jamais les complot, on es aveugles à ça, on es pas sensibilisé à ça, aps conscients de a, on a pas la capacité de voir ça, donc, quand il y a des complot, jamais en des millairds d'années on penserait oh des complot des satanistes qui contorlesl'unviers! jamais on y penserait, jamais ond evinerait

suel une riquiqui part des humains sont âmes subcocnients ect conspirationnsites, seul ces très peu humains voient les complot la ou ils existent, donc seul très peu peuvent se dire, ah! les lucifériens détruisent les animaux en grand nobmre, car on s'ne moque de eux, mais massacre humaisn en tout petit nombre, car on s'ne moque pas, ah! les satansites qui cotnrole tout mssacre énormément d'animaux, les font disparaitre toute des epsèces entirèes car on s'ne contre balance de eux, et font exterminer espèce humaine qu'en nombre riquiqui, que quels qmilleirs par ci, par la, car on aime torp les hommes, et car sinon on serait espérons le assez malin pour se dire complot satanique!

mais non, puisque, quand il y a de grands massacre, très peu sont ceux qui pensent immédiatement au complot des lucifériens, donc meme si en un jour il y avait des millions ou millairds de mrot dans toute cette planète, porbablement 97%ou 99% se dirait c'est juste bla bla = décès naturle, acicdent,s tragédies, et uniquement peu de milleirs penserait non! version offocielle= mito! en réalité,les lucifériens ont en 24h massacré 70% disons de la race humaine avec un faux prétexte, sytle ils ont cre un tsunamimondial,e une guerre mondiale, un météore, et en fait c'est pas arrivé naturlelement, c'est ces luciféirnes illuminati qui l'ont ocassioné délibérément avec une magie luciférienne, invocation démoniaque , invocation du diable ect
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